31 articles publiés en décembre 2009

09/12/2009

Choisissez le futur logo bio européen !

Rien de tel pour identifier un logo que de le choisir soi-même. Jusqu’ au 31 janvier 2010, la Commission européenne invite tous les internautes à voter pour le nouveau logo bio européen. Ce signe de reconnaissance officiel figurera sur les produits alimentaires bio préemballés produits dans l'Union européenne à partir du 1er juillet 2010. Il restera facultatif pour les produits provenant de l’extérieur de l’Union européenne. Il permettra aux consommateurs de reconnaître les produits contenant au moins 95% d'ingrédients bio (hors eau et sel), la part restante n'étant pas disponible en bio et expressément autorisée.

Les logos nationaux (AB en France), ainsi que les logos privés pourront toujours être utilisés. La marque AB répond aux mêmes conditions d’utilisation que le logo communautaire mais elle est également utilisable sur les productions non encore couvertes par la règlementation communautaire (lapins, autruches, escargots, aliments pour animaux de compagnie).

Les trois choix sont les suivants. Ils ont été pré-sélectionnés  lors du grand concours auquel ont participé plus de 3 400 étudiants en art et en design des 27 Etats membres de l’Union européenne.

Logo bio 1 
Le vote  a lieu sur : www.ec.europa.eu/organic-logo

Le logo sera accompagné de précisions sur l'origine géographique des produits (lieu de production des matières premières agricoles composant le produit), Agriculture UE ou Agriculture non UE ou encore Agriculture UE/non UE.

Le logo européen actuel de l'agiculture biologique :

Le logo actuel da agriculture bio en Europe

 

08/12/2009

Les Frères Pourcel « impliqués dans le Développement durable »

6sens C’est à Shanghaï que les Jacques et Laurent Pourcel ont bien l’intention de promouvoir la restauration et les terroirs français. A l’occasion de l’Expo 2010 construite autour du thème « Better City, better Life», ils ouvriront le 6Sens au sommet du Pavillon de la France, ainsi que The Red House" by J&L Pourcel situé sur l’emplacement historique du premier restaurant français de la concession.de Shanghaï, La Maison Rouge, sur Chengdle Lu.

Restauration21 reprend ici les propos de Jacques Pourcel publiés dans Le Petitjournal.com :

« Aujourd’hui, les chefs sont très impliqués dans le développement durable. Nous nous considérons un peu comme les conservateurs d’un patrimoine gastronomique et culturel. Beaucoup d’agriculteurs et de petits producteurs auraient disparu si nous n’avions pas été là pour acheter leurs produits de terroir. Nous travaillons énormément au niveau du sourcing des produits pour garantir les meilleurs produits chinois, qui constitueront l’essentiel de nos approvisionnements (…) Nous allons être l’un des éléments d’attractivité du Pavillon France, la gastronomie française étant la 2e attente du public chinois pour notre pavillon après l’art. Si à l’issue de l’Expo, nous sommes reconnus comme une vitrine de la France, à la hauteur des attentes des Chinois comme de celle des entreprises et producteurs  français, alors nous aurons réussi. On a 6 mois pour le faire !»

07/12/2009

McDonald’s France fait son Copenhague

La date de lancement n’est pas anodine. Le jour de l’ouverture du sommet de Copenhague sur le réchauffement climatique, McDonald’s France ouvre un site internet www.cooperonspourlenvironnement.com destiné à rassembler toutes les bonnes pratiques mises en œuvre par les entreprises de restauration. Les contributions sont à poster sur le site sur le principe de la « mutualisation inter-entreprises » expliqué selon les points suivants :

« 1) Les méthodes, outils et actions proposés à la mutualisation doivent être libres de tout droit et pouvoir ainsi être repris et améliorés par toute entreprise intéressée.

2) Les entreprises intéressées par les méthodes, outils et actions décrites dans ce site prennent l’engagement de déclarer sur ce site leur intérêt et l’usage qu’elles en font.

3) Les entreprises utilisant les méthodes, outils et actions issus de ce site prennent l’engagement d’informer la communauté échangeant sur ce site des avancées et améliorations réalisées et de remettre ces dernières en partage avec la communauté.

4) Si cette initiative prend de l’ampleur en nombre de participants ou en volume de contributions échangées, McDonald’s prend l’engagement d’inviter les entreprises ayant contribué au site à une réunion de travail pour décider, de façon collective, comment poursuivre le développement de cette initiative de mutualisation inter-entreprises des bonnes pratiques environnementales ».

Pour l’instant seules les initiatives de McDonald’s France sont en ligne. Les prochains jours diront si ce  bilan – à la fin du premier jour de la consultation- est à mettre sur le compte de la frilosité des autres enseignes sur le domaine du développement durable, de leur manque d’information sur cette opération, de leurs réticences à partager leurs bonnes pratiques avec un mastodonte de la restauration rapide ou encore de la « lenteur » du web master…

07/12/2009

« De L’Assiette aux Champs » : André Daguin endosse ses habits de défenseur de la cuisine française

En marge du différend qui l’oppose à Christine Pujol à propos de la présidence de l’UMIH,  André Daguin a présenté ce matin à la presse son rapport intitulé « De l’assiette aux champs" (lire la note Congrès anti-durables du 26/11/2009 en Actu), qui sera examiné demain et après-demain par l’assemblée plénière du Conseil Economique, Social et Environnemental et soumis au vote. « Il s’agit de répondre aux interrogations des consommateurs sur ce qui se trouve dans leurs assiettes », a expliqué André Daguin. Le texte met l’accent sur le rôle des restaurateurs sur plusieurs niveaux : approvisionnement local, mention de l’origine exacte des produits sur les cartes, participation à la réflexion sur le métier et sur les arts culinaires et de la table…Il  préconise la création d’une Cité du goût (sur le modèle de la Cité de la Musique).  

 

Dans le texte :

·     Préserver et enrichir le patrimoine culinaire de la France

·     Accorder la priorité au produit pour des pratiques durables d’achats alimentaires.

→Favoriser des productions agricoles de qualité et à forte valeur ajoutée

→Mieux informer les consommateurs sur la qualité des produits

→Maintenir le contact entre les consommateurs et le monde agricole en : développant les circuits courts, préservant l’agriculture périurbaine.

→Réhabiliter  la cuisine familiale et les produits de saison

→Mobiliser contre le gaspillage alimentaire.

·     Poursuivre les efforts d’éducation au goût et au lien alimentation-santé

→Favoriser la consommation de produits non transformés en : informant mieux sur ces produits, facilitant l’accès aux fruits et aux légumes.

→Renforcer la réglementation applicable aux allégations

→Développer l’éducation au goût des jeunes

→Poursuivre les campagnes d’information et de sensibilisation.

La note de présentation du rapport est en ligne :

http://www.conseil-economique-et-social.fr/rapport/notsyn/synthese.asp?sy=SY091710&nosai=NS091710&nomusa=DAGUIN&preusa=André&etat=PROJ&semaine=2009-50

 

André Daguin

André Daguin au CES, entouré d'André Thévenot, président de la section de l’Agriculture et de l’alimentation et par Monique Boutrand, présidente de la section Cadre de vie.

06/12/2009

Bientôt un restaurant coopératif à Roubaix

La Baraka Roubaix Présenté par Pierre Wolf, ancien président de l'Université populaire et citoyenne et futur gérant du lieu,  lors d'une réunion du conseil de quartier, le restaurant La Baraka sera doté de 60 places. Annexe du restaurant associatif, l’Univers, il  ciblera une clientèle sensible aux produits bio et à l’idée de développement durable. Son objectif : servir une moyenne de 71 repas au déjeuner et créer des emplois. Le bâtiment, conçu par l’architecte Mathieu Marthy, présentera une façade en bois et une terrasse aménagée de plantes sur le toit.

Source : http://www.nordeclair.fr/

04/12/2009

Street food solidaire

Cuisine_nomade3 Le restaurant d’application, baptisé "L'Atelier de cuisine nomade", a ouvert ses portes le 1er décembre à Blanquefort (33). L'objectif est de permettre aux personnes en difficulté, demandeurs d'emploi (jeunes et adultes), de créer leur entreprise de restauration rapide, reprenant le concept du street food, en bénéficiant d'un parrainage et après avoir reçu une formation théorique et pratique qualifiante. Cette opération, co-financée par la ville, le département, la région et le PLIE, est mené en partenariat avec le chef Thierry Marx et le lycée hôtelier Saint-Michel (formation théorique de 8 semaines sur la base de 24h/semaine). L’accompagnement à la création d’entreprises assuré par l’Association pour le droit à l’initiative économique.

04/12/2009

La CCIP-Val de Marne invite les restaurateurs à relever les Eco-Défis

Bandeau_gauche_eco_defi_2009 Energie, transports, déchets, emballages, éco-produits et gestion de l’eau sont les grands thèmes de la liste des Eco-Défis que les restaurateurs (et plus largement les commerçants indépendants) sont invités à relever. L’opération est organisée par la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Val-de-Marne en partenariat avec la Chambre de métiers et de l’artisanat du Val-de-Marne, la ville de Vincennes et l’ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie.

Les candidats ont six mois pour relever leurs trois défis (parmi la liste ci-dessous) tout en bénéficiant d’un accompagnement gratuit et personnalisé dispensé par les conseillers des chambres consulaires. A l’issue de cette période, un jury attribue aux commerçants et artisans ayant concrétisé leurs actions, le label « Eco-défis des commerçants et des artisans » permettant aux entreprises labellisées de communiquer sur leur exemplarité auprès de leurs clients.

Bulletins d’engagement sur : http://www.ccip94.fr/eco-defis-des-commercants-vincennes-598.htm

Les défis

ENERGIE – Maîtriser et réduire ses consommations.

Ce volet a pour objectif d’optimiser la performance des équipements tels que les appareils de climatisation, les installations de chauffage, les appareils de production / fabrication, les équipements informatiques, etc.

Défi n° ENE 1 : améliorer l’utilisation et le fonctionnement des équipements électriques, électroniques, thermiques (ex : équiper les appareils de dispositifs de mise en veille ou extinction automatiques, de systèmes de régulation de la température, etc.),

Défi n° ENE 2 : optimiser l’éclairage de son commerce (ex : utiliser des lampes « basse consommation », installer des ballasts électroniques ou détecteurs de présence, etc.),

Défi n° ENE 3 : privilégier les contrats d’électricité ou de gaz proposant une offre d’énergies renouvelables.

TRANSPORTS – Réduire les émissions polluantes générées

Aujourd’hui, les transports sont à l’origine d’un tiers de la consommation totale d’énergie. Ils sont aussi responsables d’une part importante de la pollution de l’air. La consommation de carburant engendre 35% des émissions de CO2, principal gaz à effet de serre.

Défi n° TRA 1 : préférer des modes de déplacement alternatifs ou doux (ex : faire appel à des services de coursiers à vélo, favoriser l’utilisation des transports en commun de vos salariés, etc.),

Défi n° TRA 2 : préférer des véhicules plus respectueux de l’environnement en location ou achat (ex : opter pour un véhicule consommant moins de carburant et rejetant moins de gaz à effet de serre),

Défi n° TRA 3 : se former (ou former ses salariés) à la conduite souple (jusqu’à 25% d’économie de carburant et baisse moyenne des accidents de 10 à 15%).

DECHETS – Favoriser le tri des déchets afin de les soumettre aux filières d’élimination adéquates

Afin qu’ils puissent suivre des filières appropriées, il est impératif de trier et de stocker les déchets par catégorie : les déchets non dangereux doivent être séparés des déchets dangereux ; les déchets valorisables doivent être triés pour être recyclés. Le tri s’effectue en fonction des possibilités de collecte et de valorisation existantes.

Défi n° DEC 1 : opter pour le tri sélectif proposé par la commune. Ce service est à contracter sur demande avec la mairie et permet de trier le verre (bacs verts) ou les emballages (bacs bleus),

Défi n° DEC 2 : améliorer la gestion des déchets dangereux en les séparant des autres déchets (ex : faire appel à un collecteur de déchets dangereux, apporter vos lampes à des points de collecte agréés, favoriser le retour fournisseur pour les cartouches et toners, etc.),

Défi n° DEC 3 : faire entretenir ses équipements frigorifiques et récupérer les fluides frigorigènes conformément à la règlementation (ex : faire appel à des organismes agréés et récupérer la fiche d’intervention ainsi que le bordereau de suivi d’élimination des fluides frigorigènes).

EMBALLAGES – Opter pour une alternative aux sacs plastiques à usage unique distribués aux clients

Les sacs jetables en plastique mettent plus de cent ans à se dégrader et représentent pour la France entière l’équivalent de la consommation de carburant automobile d’une ville moyenne de 80 000 habitants.

Défi n° EMB 1 : remplacer les sacs plastiques distribués aux clients par des sacs recyclables ou réutilisables,

ECO-PRODUITS – Encourager le développement des produits plus respectueux de l’environnement

L’objectif est de diminuer l’impact des produits sur l’environnement et de répondre à l’attente des clients. Seuls les produits ayant une reconnaissance officielle pourront être choisis dans le cadre de ces défis.

Défi n° ECO 1 : favoriser la commercialisation des éco-produits ou des produits de saison [proposer ET promouvoir les produits avec des labels officiels (marquage NF Environnement, Ecolabel Européen, Agriculture Biologique, etc.) ou les produits de saison],

Défi n° ECO 2 : utiliser des éco-produits en interne [utilisation d’un minimum de cinq produits ayant un label officiel, faire appel à des fournisseurs ou prestataires ayant intégré une démarche environnementale (ex : Imprim’Vert® pour les imprimeurs)],

Défi n° ECO 3 : remplacer les produits dangereux par des produits présentant moins de risques pour la santé et l’environnement [défi réservé aux pressings (utilisation de technologies propres) et garagistes (fontaines à solvants lessivielles)].

EAU – Améliorer la gestion de l’eau et prévenir les pollutions

L’eau est une ressource rare et menacée qu’il convient d’économiser. Elle a également un coût qui incite à limiter les consommations. Concernant les rejets d’eaux usées, les entreprises se doivent de les maîtriser pour préserver les milieux naturels.

Défi n° EAU 1 : réduire et maitriser ses consommations d’eau (ex : installer des équipements de type mousseurs) ET les maîtriser en assurant le suivi de ses consommations,

Défi n° EAU 2 : maîtriser ses rejets et sécuriser ses stockages de produits dangereux pour limiter la pollution de l’eau (bacs à graisse, séparateur à hydrocarbures, etc.) ? aide financière possible (nous contacter).

Source : http://www.ccip94.fr/upload/pdf/commerce_ecodefis_liste_defis.pdf

03/12/2009

Réchauffement climatique : McDonald’s France engage les chefs d’entreprise à coopérer

A l’occasion de la conférence de l’O.N.U. à Copenhague, McDonald’s France

lance un appel à la coopération entre les entreprises pour relever le défi du réchauffement climatique.

A partir du 7 décembre 2009, sur le site internet www.cooperonspourlenvironnement.com, l’enseigne mettra en avant les  solutions environnementales mises en place dans le cadre de son réseau, ainsi que  les projets qui pourraient faire l’objet d’une coopération inter-entreprise. Toutes les entreprises souhaitant échanger dans le cadre de cette démarche pourront s’inscrire en ligne et échanger sur les conditions de mutualisation possible des actions et bonnes pratiques environnementales.

McDonald’s France (1 134 restaurants)  s’engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 60 %  d’ici 2020 (par client servi chez McDonald’s en comparaison des émissions de 2005) dans ses restaurants et, avec le soutien de ses partenaires, s’engage à réduire de 20%  ses émissions d’ici 2020 sur le périmètre plus global de ses activités incluant ses filières agricoles.

02/12/2009

Les produits labellisés bio en restauration collective au menu du Smahrt 2010

Mercredi 10 février de 14h30 à 15h30, Les produits labellisés bio en restauration collective seront au programme dans le cadre du Smahrt, organisé du 7 au 10 février 2010  au Parc des Expositions de Toulouse (31). Ce débat sera organisé avec la collaboration du Service régional de l’Alimentation.

Un des objectifs fixés par le Grenelle de l’environnement est d’introduire 20 % de produits bios dans la restauration collective publique d’ici à 2012.Selon une étude récente de l’Observatoire des produits bios, 36 % des restaurants de collectivité déclarent en proposer régulièrement ou occasionnellement. Si des initiatives en ce sens existent déjà depuis plusieurs années et si les pouvoirs publics affichent une véritable volonté sur ce sujet, l’objectif du Grenelle ne sera pas facile à atteindre : les circuits de distribution de produits bio pour la cuisine collective ne sont pas encore bien développés. En outre, les professionnels doivent pour ce faire s’adapter à de nouvelles contraintes : respecter la saisonnalité des produits, anticiper les commandes et privilégier les circuits courts plus respectueux de l’environnement.

Renseignements sur www.smahrt.com

02/12/2009

Le Club Med « La Plantation d’Albion », situé à l’île Maurice reçoit un Prix Entreprises et Environnement de l’ADEME

Prix Entreprises et Environnement Mention spéciale « Technologie et développement durable » dans la catégorie Technologies économes et propres  pour le Club Méditerranée pour la mise en place d’un traitement écologique de ses eaux usées, décernée par l’ADEME. Le Club Med « La Plantation d'Albion », situé à l’île Maurice, est le premier grand « resort » de luxe équipé de Jardins Filtrants® pour traiter toutes ses eaux usées. La qualité des eaux obtenue permet une réutilisation de toutes les eaux traitées pour l’irrigation des espaces verts. Pour cette réalisation, le Club Méditerranée s'est appuyé sur l'expertise de la société française Phytorestore qui a conçu une véritable station végétale très esthétique au sein du Village pour traiter 400 M³ d’eaux usées par jour sans générer aucune nuisance.

Cette station de traitement des eaux usées absorbe les variations de charge importantes et résiste aux conditions météorologiques parfois extrêmes.Elle ne nécessite pas l’intervention d'experts pour la maintenance et se passe totalement de produits chimiques. Les boues s’intègrent à la végétation de la station. Une véritable zone humide a été créée alors que beaucoup sont en voie de disparition sur l’Ile Maurice. Elle est dotée de nombreuses plantes indispensables pour la survie d’oiseaux tropicaux et elle permet également de créer un site conservatoire pour la biodiversité locale. Les coûts d’investissement sont en effet légèrement inférieurs à ceux d’une station traditionnelle en béton à boue activée et surtout, les coûts de fonctionnement sont particulièrement réduits car il n’y a besoin ni d’électricité, ni de produits chimiques.

 

 

 

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