246 articles publiés dans la catégorie "Développement durable"

28/12/2009

Xavier Denamur propose plus de DD dans les CHR contre un retour à la TVA à 19,6%

Parmi les dix propositions du médiatique restaurateur parisien Xavier Denamur (La Belle Hortense, les Philosophes…) qui milite pour un retour de la TVA à 19,6 %, 3 sont consacrées à la mise en place du développement durable  en restauration : défense des produits alimentaires et  transparence sur leur contenu, réduction de l'empreinte écologique des restaurants. Selon lui, le passage à un taux de TVA supérieur permettrait de financer les démarches suivantes :

·     Créer une classification des produits servis pour renseigner le consommateur (frais ou pas, fabriqué sur place ou pas)

·     Veiller à la réduction de l’empreinte écologique de ces entreprises, les plus polluantes des commerces de détails (favoriser le tri, la réduction des emballages, l’emploi de produits frais par exemple)

·     Informer et lutter contre le développement des produits saturés en gras, sel ou sucre ayant des conséquences sur la santé et les finances publiques et communiquer sur le rôle d’exemplarité de la vraie restauration en matière de pratiques alimentaires.

En attendant, le patron affiche ses convictions sur les sacs en papier recyclable (en provenance de forêts éco-gérées des Landes) de son affaire La belle Hortense : « Sa fabrication en France permet de limiter le coût carbone de son transport (…). Consommer intelligent, c’est préserver notre potentiel d’avenir ». Sur la première page de ses cartes figure son manifeste “contre la baisse de la TVA” dans lequel il engage ses clients à “préférer les restaurants qui rémunèrent bien leurs salariés, choisissent des produits frais”. Provocateur Xavier Denamur ? Réponse le 26 janvier 2010. Le patron restaurateur organisera à Paris les « vrais états généraux de la restaurations » à la Bourse du Travail à République.  Renseignements sur www.lesvraisetatsgenerauxdelarestauration.fr

La Belle Hortense, sac papier recyclable

25/12/2009

Une charte du DD pour les cuisiniers signée Alain Alexanian en partenariat avec le WWF

Alain Alexanian Le cuisinier Alain Alexanian a travaillé sur une charte Développement durable, en partenariat avec l’ONG WWF. L’objectif consistait à définir des points d’entrée afin de mettre en place une démarche de développement durable au sein d’une cuisine : menu, produits alimentaires, utilisation des produits chimiques, produits jetables, ustensiles de cuisine, consommation d’eau et d’énergie, déchets, communication et transparence. Questions.

 

Restauration21 – Comment situez-vous la restauration dans le champ du Développement durable ? Le restaurateur indépendant face à cette thématique ?

Alain Alexanian – La restauration est allée tellement loin dans les transports, l'emballage, l'excès de chauffage, l'excès de lumière…. que le développement durable n'est en qu'aux balbutiements. Nous rentrons dans une période de crise ce qui va faire prendre conscience au restaurateur la notion de gaspillage à outrance devenue une habitude ces dernières années

Comment avez-vous fait le lien entre les deux domaines ? Qu'elle est votre démarche ?  Est-ce une démarche d'avantage personnelle ou professionnelle ? Où en êtes-vous dans votre démarche ?

Le lien a découlé de l'évidence. Je voulais faire des économies à la fois dans une démarche d'économie d'énergie au niveau écologie et au niveau économie dans mon restaurant. Démarche à la fois perso et professionnelle. Je continue dans cette direction notamment grâce à l'appui d'un cahier des charges strict en quelques points bien précis : menu, produits alimentaires, utilisation de produits chimiques, produits jetables, ustensiles de cuisine, consommation d'eau et d'énergie, déchets, communication et transparence)

Un restaurateur peut-il façonner la demande de ses clients ? Peut-il orienter leurs comportements de consommateurs ?  Leurs demandes ?

Ce n'est pas notre premier rôle. On peut appliquer des préceptes mais donner des leçons n'est pas de notre ressort. 

On dit que le Développement durable va dans le sens de la limitation de la consommation non nécessaire, de la limitation des besoins des consommateurs. Le restaurateur a-t-il un rôle à jouer dans ce sens ?

Il doit d'abord appliquer dans son établissement les règles élémentaires 

Une carte peut-elle être durable, c'est-à-dire soutenable pour l'environnement ? Pour les clients ? tout en étant commerciale et
« rentable » pour le restaurateur.

Oui et il faut changer nos habitudes d'approvisionnement et de proposition de menu

Pensez-vous que le restaurateur va être à moment obligé de « rendre des comptes » sur sa carte ?

Oui c'est déjà le cas à l'étranger, cela suivra chez nous.

Le restaurateur devra-t-il  justifier l'origine de ses produits ?

Oui

Les consommateurs pourront-ils lui imposer cela ?

Ce sont les pouvoirs publics qui peuvent impulser puis imposer.

La charte est téléchargeable sur :

http://www.alainalexanianconsulting.com/charte/charte.pdf

22/12/2009

Quelles sont vos pratiques énergétiques ?

CHANGE-Logo_medium C’est la question que vous pose le projet européen CHANGE. Il vise à accompagner les PME PMI sur les questions de maîtrise de l’énergie et de valorisation des énergies renouvelables par la mise en place d'un réseau européen de conseillers spécialisés. Le projet rassemble 12 partenaires européens représentant 64 Chambres de Commerce en Europe parmi lesquelles 10 C(R)CI françaises dont la CCI de Paris. L'objectif de CHANGE consiste à permettre aux chefs de petites et moyennes entreprises de développer l’efficacité énergétique de son  entreprise par la maîtrise de ses consommations, de connaître les opportunités du marché de l’électricité et des énergies renouvelables  et bénéficier du retour d’expériences d’entreprises européennes .

Pour participer : http://www.environnement.ccip.fr/content/download/2863/35190/file/questionnaire_CHANGE_final_avec

Les entreprises participantes peuvent solliciter un pré-diagnostic énergie auprès des conseillers des CCI participantes.

Source : http://www.environnement.ccip.fr/Transversal/Actualites/Etude-sur-les-pratiques-energetiques-des-PME-participez-%21

21/12/2009

Bilan Carbone™ : l’ADEME va augmenter la subvention aux petites entreprises

La subvention Bilan Carbone™  de l'ADEME va augmenter pour les petites entreprises.  Elle passera à 70% des coûts de la prestation  tout en restant plafonnées à 50k€  au lieu de 15k€ actuellement. En revanche, pas de modification pour la subvention accordée aux grandes entreprises qui est de 50% du coût de la prestation.  Un cahier des charges précis de la prestation doit être respecté pour en bénéficier.

Pourquoi faire réaliser le Bilan Carbone™ de son restaurant ?Réponse  sur : https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/11/pourquoi-faire-r%C3%A9aliser-le-bilan-carbone-de-son-restaurant-.html

20/12/2009

Le SNRC et le WWF publient « Du bio à la cantine, mode d’emploi »

L’objectif de cette brochure est d’apporter des réponses claires aux principales questions que se posent les élus sur le bio. Jacques Roux, Président du SNRC (Syndicat National de la Restauration Collective), explique : « face aux questionnements récurrents des collectivités locales avec lesquelles nous sommes en relation, l’objectif de ce guide et de notre alliance avec le WWF était de mutualiser nos compétences afin d’apporter de vrais éclairages aux élus en se penchant de façon pragmatique sur les conditions du passage au bio ». « Du bio à la cantine, mode d’emploi » répond à plusieurs questions que se posent les décideurs locaux :

– Qu’est ce qu’un repas bio ?

– Faut-il passer à une restauration 100% bio directement ?

– Vaut-il mieux privilégier le bio ou les produits de proximité ?

– Quel est le « juste » prix du bio ?

Le guide a été diffusé auprès des maires des villes de plus de 5 000 habitants et sera envoyé à l’ensemble des parlementaires en janvier. Le guide sera également distribué tout au long de l’année dans les salons dédiés au bio et à l’éducation pour sensibiliser l’ensemble des acteurs.

Par ailleurs, le guide « Du bio à la cantine, mode d’emploi » est disponible sur les sites du WWF : www.wwf.fr et www.ouiaubiodansmacantine.fr  et du SNRC : http://62.102.106.55/PortalDev/Objects/2/Files/brochure_bio.pdf

16/12/2009

La Table de Cana s’installe à Perpignan

L’ouverture est programmée pour le 28 janvier 2010. Tout comme les 6 premiers restaurants du réseau (Antony, Gennevilliers, Grasse, Marseille, Montpellier et Lyon) fondé il y a 25 ans, la Table de Cana de Perpignan formera aux métiers de la restauration les personnes en difficultés, que ce soit en cuisine, en salle ou sur le segment traiteur.  C’est  Jean-Marc Carmine qui en dirigera la cuisine. La création de 10 emplois est envisagée sur les trois premières années d’exercice.

Sur son site internet (www.tabledecana.com) ,à la rubrique Développement durable,  la Table de Cana explique :

« La Fédération LTC [ndlr : La Table de Cana] relaye et décline les enjeux essentiels pour tendre vers une Planète Durable. A travers sa mission d'insertion elle place l’être humain, principal bénéficiaire et principal acteur, au cœur de cette question :

– par son rôle de sensibilisation et de formation de ses salariés en insertion pour construire leur vie autrement,

– par son rôle d'entreprise, se souciant de minimiser son impact sur l'environnement et accompagnant, voire même précédant, ce mouvement de fond,

– par son rôle d'interlocuteur avec les collectivités, les entreprises, les réseaux et la société en général ayant à  témoigner  d'une alternative respectueuse de l'homme et de son environnement, plus riche et plus épanouissante.

Elle prône et soutient l’engagement progressif de chacun de ses membres  dans les enjeux suivants :

Promouvoir une alimentation plus saine en choisissant des approvisionnements selon une approche globale privilégiant plusieurs axes : la santé (bio), la minimisation de l'empreinte carbone (locale), l'optimisation de l'emploi (équitable, artisanal…) où le choix de produits d'une agriculture raisonnée s'impose  quelquefois face à un label bio importé…

L’économie des ressources : eau, électricité et toutes formes d’énergie … par l’application de procédures, par le choix progressif de modes de transport propres … en choisissant des produits à plus faible emballage…

Le respect de l'environnement : utilisation de produits de nettoyage biodégradables, tri sélectif… »

14/12/2009

Le titre de Maître Restaurateur peut-il être le label « universel » qualité des restaurateurs ?

C’est sur ce thème que se sont déroulées aujourd’hui les discussions des Etats généraux de la restauration  traditionnelle artisanale, salle Colbert à l’Assemblée nationale, organisés par les Cuisineries gourmandes. Selon leur président Claude Izard, le titre de Maître Restaurateur constitue la solution d’harmonisation face au maquis des marques de qualité existant sur  le champ de la restauration ainsi que les notes et appréciations des guides gastronomiques. « Le consommateur est en attende d’éclaircissement, il connaît le principe de la certification qualité et il fait un parallèle avec les labels sur les produits alimentaire », explique-t-il. Décerné par le préfet à l’issue d’un audit, le titre de Maître Restaurateur –le seul délivré par l’Etat – qualifie 3 éléments : la qualification professionnelle du cuisinier, la cuisine faite sur place et l’utilisation d’au moins 70 % de produits frais. Depuis avril 2008,, 555 restaurateurs ont décroché cette certification et un total de 1023 audits devait avoir été réalisé à la fin du 3e trimestre. En tout, 100 000 professionnels sont concernés par cette démarche selon les Cuisineries Gourmandes. Le titre de Maître Restaurateur permet de bénéficier d’un crédit d’impôt de 50 % des dépenses de modernisation (contrat d’avenir), sur une durée de 3 ans pour un montant maximum de 30 000€, soit une somme de 15 000 €.

07/12/2009

McDonald’s France fait son Copenhague

La date de lancement n’est pas anodine. Le jour de l’ouverture du sommet de Copenhague sur le réchauffement climatique, McDonald’s France ouvre un site internet www.cooperonspourlenvironnement.com destiné à rassembler toutes les bonnes pratiques mises en œuvre par les entreprises de restauration. Les contributions sont à poster sur le site sur le principe de la « mutualisation inter-entreprises » expliqué selon les points suivants :

« 1) Les méthodes, outils et actions proposés à la mutualisation doivent être libres de tout droit et pouvoir ainsi être repris et améliorés par toute entreprise intéressée.

2) Les entreprises intéressées par les méthodes, outils et actions décrites dans ce site prennent l’engagement de déclarer sur ce site leur intérêt et l’usage qu’elles en font.

3) Les entreprises utilisant les méthodes, outils et actions issus de ce site prennent l’engagement d’informer la communauté échangeant sur ce site des avancées et améliorations réalisées et de remettre ces dernières en partage avec la communauté.

4) Si cette initiative prend de l’ampleur en nombre de participants ou en volume de contributions échangées, McDonald’s prend l’engagement d’inviter les entreprises ayant contribué au site à une réunion de travail pour décider, de façon collective, comment poursuivre le développement de cette initiative de mutualisation inter-entreprises des bonnes pratiques environnementales ».

Pour l’instant seules les initiatives de McDonald’s France sont en ligne. Les prochains jours diront si ce  bilan – à la fin du premier jour de la consultation- est à mettre sur le compte de la frilosité des autres enseignes sur le domaine du développement durable, de leur manque d’information sur cette opération, de leurs réticences à partager leurs bonnes pratiques avec un mastodonte de la restauration rapide ou encore de la « lenteur » du web master…

04/12/2009

La CCIP-Val de Marne invite les restaurateurs à relever les Eco-Défis

Bandeau_gauche_eco_defi_2009 Energie, transports, déchets, emballages, éco-produits et gestion de l’eau sont les grands thèmes de la liste des Eco-Défis que les restaurateurs (et plus largement les commerçants indépendants) sont invités à relever. L’opération est organisée par la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Val-de-Marne en partenariat avec la Chambre de métiers et de l’artisanat du Val-de-Marne, la ville de Vincennes et l’ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie.

Les candidats ont six mois pour relever leurs trois défis (parmi la liste ci-dessous) tout en bénéficiant d’un accompagnement gratuit et personnalisé dispensé par les conseillers des chambres consulaires. A l’issue de cette période, un jury attribue aux commerçants et artisans ayant concrétisé leurs actions, le label « Eco-défis des commerçants et des artisans » permettant aux entreprises labellisées de communiquer sur leur exemplarité auprès de leurs clients.

Bulletins d’engagement sur : http://www.ccip94.fr/eco-defis-des-commercants-vincennes-598.htm

Les défis

ENERGIE – Maîtriser et réduire ses consommations.

Ce volet a pour objectif d’optimiser la performance des équipements tels que les appareils de climatisation, les installations de chauffage, les appareils de production / fabrication, les équipements informatiques, etc.

Défi n° ENE 1 : améliorer l’utilisation et le fonctionnement des équipements électriques, électroniques, thermiques (ex : équiper les appareils de dispositifs de mise en veille ou extinction automatiques, de systèmes de régulation de la température, etc.),

Défi n° ENE 2 : optimiser l’éclairage de son commerce (ex : utiliser des lampes « basse consommation », installer des ballasts électroniques ou détecteurs de présence, etc.),

Défi n° ENE 3 : privilégier les contrats d’électricité ou de gaz proposant une offre d’énergies renouvelables.

TRANSPORTS – Réduire les émissions polluantes générées

Aujourd’hui, les transports sont à l’origine d’un tiers de la consommation totale d’énergie. Ils sont aussi responsables d’une part importante de la pollution de l’air. La consommation de carburant engendre 35% des émissions de CO2, principal gaz à effet de serre.

Défi n° TRA 1 : préférer des modes de déplacement alternatifs ou doux (ex : faire appel à des services de coursiers à vélo, favoriser l’utilisation des transports en commun de vos salariés, etc.),

Défi n° TRA 2 : préférer des véhicules plus respectueux de l’environnement en location ou achat (ex : opter pour un véhicule consommant moins de carburant et rejetant moins de gaz à effet de serre),

Défi n° TRA 3 : se former (ou former ses salariés) à la conduite souple (jusqu’à 25% d’économie de carburant et baisse moyenne des accidents de 10 à 15%).

DECHETS – Favoriser le tri des déchets afin de les soumettre aux filières d’élimination adéquates

Afin qu’ils puissent suivre des filières appropriées, il est impératif de trier et de stocker les déchets par catégorie : les déchets non dangereux doivent être séparés des déchets dangereux ; les déchets valorisables doivent être triés pour être recyclés. Le tri s’effectue en fonction des possibilités de collecte et de valorisation existantes.

Défi n° DEC 1 : opter pour le tri sélectif proposé par la commune. Ce service est à contracter sur demande avec la mairie et permet de trier le verre (bacs verts) ou les emballages (bacs bleus),

Défi n° DEC 2 : améliorer la gestion des déchets dangereux en les séparant des autres déchets (ex : faire appel à un collecteur de déchets dangereux, apporter vos lampes à des points de collecte agréés, favoriser le retour fournisseur pour les cartouches et toners, etc.),

Défi n° DEC 3 : faire entretenir ses équipements frigorifiques et récupérer les fluides frigorigènes conformément à la règlementation (ex : faire appel à des organismes agréés et récupérer la fiche d’intervention ainsi que le bordereau de suivi d’élimination des fluides frigorigènes).

EMBALLAGES – Opter pour une alternative aux sacs plastiques à usage unique distribués aux clients

Les sacs jetables en plastique mettent plus de cent ans à se dégrader et représentent pour la France entière l’équivalent de la consommation de carburant automobile d’une ville moyenne de 80 000 habitants.

Défi n° EMB 1 : remplacer les sacs plastiques distribués aux clients par des sacs recyclables ou réutilisables,

ECO-PRODUITS – Encourager le développement des produits plus respectueux de l’environnement

L’objectif est de diminuer l’impact des produits sur l’environnement et de répondre à l’attente des clients. Seuls les produits ayant une reconnaissance officielle pourront être choisis dans le cadre de ces défis.

Défi n° ECO 1 : favoriser la commercialisation des éco-produits ou des produits de saison [proposer ET promouvoir les produits avec des labels officiels (marquage NF Environnement, Ecolabel Européen, Agriculture Biologique, etc.) ou les produits de saison],

Défi n° ECO 2 : utiliser des éco-produits en interne [utilisation d’un minimum de cinq produits ayant un label officiel, faire appel à des fournisseurs ou prestataires ayant intégré une démarche environnementale (ex : Imprim’Vert® pour les imprimeurs)],

Défi n° ECO 3 : remplacer les produits dangereux par des produits présentant moins de risques pour la santé et l’environnement [défi réservé aux pressings (utilisation de technologies propres) et garagistes (fontaines à solvants lessivielles)].

EAU – Améliorer la gestion de l’eau et prévenir les pollutions

L’eau est une ressource rare et menacée qu’il convient d’économiser. Elle a également un coût qui incite à limiter les consommations. Concernant les rejets d’eaux usées, les entreprises se doivent de les maîtriser pour préserver les milieux naturels.

Défi n° EAU 1 : réduire et maitriser ses consommations d’eau (ex : installer des équipements de type mousseurs) ET les maîtriser en assurant le suivi de ses consommations,

Défi n° EAU 2 : maîtriser ses rejets et sécuriser ses stockages de produits dangereux pour limiter la pollution de l’eau (bacs à graisse, séparateur à hydrocarbures, etc.) ? aide financière possible (nous contacter).

Source : http://www.ccip94.fr/upload/pdf/commerce_ecodefis_liste_defis.pdf

03/12/2009

Réchauffement climatique : McDonald’s France engage les chefs d’entreprise à coopérer

A l’occasion de la conférence de l’O.N.U. à Copenhague, McDonald’s France

lance un appel à la coopération entre les entreprises pour relever le défi du réchauffement climatique.

A partir du 7 décembre 2009, sur le site internet www.cooperonspourlenvironnement.com, l’enseigne mettra en avant les  solutions environnementales mises en place dans le cadre de son réseau, ainsi que  les projets qui pourraient faire l’objet d’une coopération inter-entreprise. Toutes les entreprises souhaitant échanger dans le cadre de cette démarche pourront s’inscrire en ligne et échanger sur les conditions de mutualisation possible des actions et bonnes pratiques environnementales.

McDonald’s France (1 134 restaurants)  s’engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 60 %  d’ici 2020 (par client servi chez McDonald’s en comparaison des émissions de 2005) dans ses restaurants et, avec le soutien de ses partenaires, s’engage à réduire de 20%  ses émissions d’ici 2020 sur le périmètre plus global de ses activités incluant ses filières agricoles.

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