214 articles publiés dans la catégorie "Restauration rapide"

02/05/2011

Papilles Bio fournisseur de l’hôtel automatique parisien Hi matic

Photo©Restauration21 (3) C’est un peu le petit frère de  l’hôtel Hi ouvert à Nice (06), Promenade des Anglais, et de la Dar Hi Nefta en Tunisie.  Les concepteurs, Patrick Elouarghi et Philippe Chatelet, en partenariat avec la designer Matali Crasset, ont récidivé à Paris, où ils ont implanté le Hi matic (2 étoiles), rue de Charonne (XIe), inauguré jeudi 28 avril. D’avantage qu’un hôtel, c’est un concept d’éco-logis urbain, de pied à terre automatique (42 chambres) qui est proposé aux clients : auto-enregistrement sur une borne, un distributeur d’objets pratiques et utiles, un coin iPad dans le lobby. Servi au sous-sol dans un espace dédié, un « réfectoire food », le petit-déjeuner compris dans le prix de la chambre est bio, fourni par l’entreprise Papilles Bio située à Domont (95). Sur le plateau : une barre chocolatée, des fruits, du pain à volonté, thé, café… Le lait est mis à disposition dans une machine en DA. De même qu’une offre d’une dizaine de références de  snaking : crumble, sandwiches, salades, jus de fruits, tous bio  et accessibles en permanence, pour des tarifs entre 2 et 8 euros.

« Nous comptons faire auditer cet hôtel afin d’obtenir le label Green Globe », explique Patrick Elouarghi qui a investi  1,5 MЄ dans ce nouvel hébergement écologique (bois tulipier renouvelable, caoutchouc, peintures organo minérales…) qu’il souhaite en prise directe avec la société.

Photo©Restauration21

Photos©Restauration21

 

Photo©Restauration21 (2)  

 

 

 

 

 

 

 

 

26/04/2011

Omenubio, essai réussi pour Marianne Contet

C’est par un restaurant de snacking bio, baptisé Omenubio  et situé rue du Château à Boulogne (92),  que Marianne Contet a choisi d’entrer dans le monde de la restauration, en septembre 2010. Une totale reconversion pour cet ex juriste dans la fonction publique territoriale, mère de famille et par ailleurs triathlète amateur. Sa motivation principale : « être [son] propre patron ». « J’aime cuisinier de manière familiale, la restauration rapide me semblait le moyen approprié de me lancer, même si le fait de n’assurer que le service du midi demande un très grand investissement personnel du fait que je réalise toute les recettes de façon traditionnelle » explique chef d’entreprise. Excepté le soda, tous les produits utilisés dans  la préparation des plats sont labellisés bio : salades, sandwiches, soupes, cakes.  « Ma démarche par rapport au bio est parti de mon souci de préserver la santé de mes enfants, puis au fur et à mesure, celle de planète », poursuit-elle. Elle évalue à 50 % la proportion de ses clients uniquement motivés par son offre bio.

Les  12 places assises du petit espace font le plein à chaque service, 80 % de l’activité est réalisée en VAE, le ticket moyen de 8, 50 euros.  « Le restaurant tourne avec une soixantaine de clients par jour pour le moment, l’idéal serait d’en compter une quinzaine de plus », précise Marianne Contet qui a investi dans sa nouvelle vie professionnelle quelques 120 000 euros en reprenant le fonds de la sandwicherie  précédente.

«J’ai essayé de démarcher des petits producteurs, le problème ce sont les quantités »,  explique-t-elle. Le pain provient de la boulangerie Moisan (Paris XVe), la charcuterie de chez Rostain à Gap (05). Bio Distrifrais et l’Rbio assurent  l’approvisionnement complémentaire.

Progressivement, Marianne Contet peaufine son offre : contenants et couverts en PLA, emballages en résidus de canne à sucre sacs en plastique 100 % biodégradables… La prochaine étape devrait consister à la mise en place d’une livraison, en vélo, sur un rayon de 2 à 3 km.

Photo ©Restauration21 Marianne Contet étudie maintenant la mise en place d’une signalétique appropriée mettant en évidence sa démarche bio. Photo©Restauration21

13/04/2011

Exki veut calculer la « water foot print » du légume du mois

Exki celeri-FR En avril, c’est le céleri, en mai la courgette, et en juin le concombre. Chaque mois, l’enseigne de restauration Exki (51 unités en France, Belgique, Luxembourg, Italie) met en avant un légume de saison proposé sous plusieurs formes : en soupes, dans les sandwiches, dans les plats chauds, en salades…  Dans quelques mois, toutes ces recettes afficheront une nouvelle information : leur empreinte en eau où ce que leur réalisation coûte en eau. Ce « prix » sera exprimé en litre et calculé en partenariat avec le WWF Belgique, lequel procédera également à l’actualisation des données concernant l’empreinte écologiques (exprimée en m2) des restaurants belges, une première mesure ayant été effectuée début 2010. « Nous verrons si nous avons atteint notre objectif qui consistait à réduire de 25 % notre empreinte environnementale » précise Frédéric Rouvez, co-fondateur, avec Laurent Kahn, de l’enseigne. Pour le réseau situé dans l’hexagone, c’est la méthode du Bilan Carbone® de l'ADEME qui a été retenue, la réalisation du diagnostic ayant été confiée au cabinet Deloitte.

10 ans après sa création, l’enseigne belge passe le cap du 51e restaurant. Dernière née : la succursale de 50 places assises située rue du Quatre Septembre à Paris (IIe).  La marque y déploie ses arguments DD : meubles en bois FSC, éclairages économes en énergie, carte composée de près de 30 % de produits bio. Dans la  future unité qui ouvrira rue de Berry, la peinture murale sera écologique. « Nous sommes également en train d’étudier comment économiser de l’énergie avec l’air conditionné » ajoute  Frédéric Rouvez. A terme, l’enseigne mise sur la  certification anglo-saxonne Breeam (« BRE Environmental Assessment Method » ) de ses établissements.

11/04/2011

Le mini-écopacteur de CKFD Environnement transforme 700 canettes en 1 vélo

Mini-écopacteur Proposé par l’entreprise CKFD Environnement  créée il y  4 ans, le mini-écopacteur  est une solution pour gérer la fin de vie des canettes en aluminium.  C’est une poubelle intégrant la  collecte, le tri et le compactage et qui se présente sous la forme d’un gros cylindre pouvant contenir 700 canettes aplaties, soit l’équivalent de l’aluminium nécessaire à la fabrication d’un vélo. Le geste est simple : la canette en aluminium est placée dans une trappe d’accès en plexiglas  permettant de visualiser son écrasement, lequel s’effectue manuellement via l’abaissement, par l’utilisateur, d’une presse. Compactée à 80 % de sa taille initiale, la canette est ensuite placée dans un sac situé dans la partie inférieure du cylindre. Un nettoyage et une vidange est assuré par CKFD Environnement  moyennant une redevance de 35 euros par mois s’ajoutant  aux 60 euros, prix mensuel de la location de l’équipement. «Le service représente la maintenance du compacteur ainsi que la gestion des canettes qui sont prises en charge par notre prestataire » explique Mickael Dumoulin, commercial de la société. Par exemple, sur l’Ile-de-France, CKFD Environnement fait appel à Cornec, un prestataire spécialisé dans la valorisation des métaux non ferreux, qui achemine les canettes (permettant ainsi leur traçabilité) jusqu’à l’usine de revalorisation. CKFD qui a placé quelques 300 éco-compacteurs auprès de clients (entreprises, restaurants, espaces événementiels….) a récolté l’an dernier 6,3 tonnes de canettes. CKFD reverse l’intégralité du  montant dégagé par la valorisation des canettes à deux associations : Mira Europe et K Net Partage dans le but d’acheter et de former des chiens guides pour jeunes aveugles  et d’accompagner de jeunes déficients mentaux ou physiques (lire plus bas).

Bientôt les gobelets et les bouteilles 50  cl

©Restauration21 (2) En juin prochain, la jeune entreprise ajoutera une autre « machine » à sa gamme : le facilo’tri, un compacteur qui, outre  la gestion de 1 300 canettes, permet également de collecter 800  gobelets usagers  en plastique ainsi que 700  bouteilles en PET de 50 cl et leurs bouchons, des formats principalement utilisés en VAE, en  restauration rapide ou encore dans les cafétérias. Le principe reste simple. Le capot de la poubelle comporte 4 trous pour recevoir  les gobelets lesquels sont empilés dans la poubelle. Les canettes et les bouteilles en PET sont placées dans une trappe horizontale. Un trou permet de récupérer les bouchons. L’abaissement du bras du compacteur réduit de 60 % les bouteilles.  Le mini-écopacteur et le facilo’tri sont conçus et fabriqués intégralement en France. Le premier est composé à  plus de 94% de matières recyclable et le second à plus de 98 %% : acier, plastique et peinture aqueuse.

 

 

« Une quête de sens » – Ce n’est pas seulement  du recyclage, il s’agit également d’une quête de sens », explique Christophe Kukawka. Mercredi 6 avril, à l’occasion du salon Bureaux Expo by Siseg Porte de Versailles à Paris, CKFD Environnement, en partenariat avec l’Arseg (Association des directeurs et responsables de services généraux) a remis un chèque de 1 000 euros à l’association Mira Europe. Déjà fin 2008, un premier chien guide avait ainsi pu être financé, concrétisant 18 mois de collecte et de valorisation de canettes sur le plan national.

©Restauration21 Christophe Kukawka, directeur associé CKFD,  Mélanie Sotteau accompagnée de son chien guide, Frédéric Gaillanne, président de l’association  Mira, Patrick Poirier, directeur associé, CKFD, François Delatouche, président, de l’ARSEG.

 

Photos©Restauration21

04/04/2011

Lina’s Paris adopte la Voocard

Linas voocard evoo 3.2 sm sign- 0311 Lina's Paris a fait le choix d'une communication complice et responsable grâce à la Voocard,  un emballage éthique et solidaire pour l’accompagnement du café. L'agence évoo a réalisé une carte en forme de sandwich :  un origami en papier PEFC, et assemblée à la main, pièce par pièce, par des partenaires spécialisés dans le maintient ou la réinsertion sociale. Elle contient un chocolat pétillant servi avec le café. Avec ce nouveau support commercial, l’enseigne de restauration rapide a réalisé une opération de street marketing destinée à mettre en avant son offre.

Lire l’article "La Voocard, un emballage équitable pour l’accompagnement sucré du café".

31/03/2011

Quand le concept de pause s’invite en restauration rapide

Bettina Laville, Fondatrice et Présidente d'honneur du Comité 21 et membre du Conseil d’Etat, est venue clore l’Assemblée générale du SNARR, syndicat national de l’alimentation et de la restauration rapide, mardi 29 mars. Une démonstration volontairement provocatrice sur le thème « Les entreprises de restauration rapide, des responsabilités …  durables ». Morceaux choisis.

La crise : « Il suffit d’une crise pour que l’environnement soit remis au goût du jour. Il n’y a pas dans le monde où nous vivons de court terme, de moyen terme et de long terme, mais une interaction entre ces temps différents. Concevoir que nos actions ont plus d’impact sur la planète à cause de la technologie, de la mondialisation, c’est cela le Développement durable ».

La  restauration rapide est-elle durable ? : « L’alimentation doit contribuer à la santé ainsi que la Déclaration de Rio le stipule. La restauration rapide est-elle créatrice d’un mode de consommation non sain ? L’Agenda 21 de Rio parle de consommation « écologiquement naturelle ». En 1996, l’Organisation mondiale de la santé définit l’alimentation  et la nutrition comme des facteurs de développement économique. En 2004, la Charte française de l’environnement reprend dans son article 1 la Convention de Rio : la préservation de la santé de la planète et de la santé humaine est  un facteur primordial.  Cette  Charte constitutionnelle est au-dessus des lois. Quelqu’un qui n’obtiendrait pas une nourriture respectueuse de sa santé pourrait être reconnu lésé par un tribunal ».

L’impact du Grenelle sur la restauration : « Vous n’êtes pas tant que fournisseurs de repas particulièrement impactés par le Grenelle, en revanche, les restaurants le sont. Peu à peu les grands groupes de restauration vont être impactés par le rapport annuel DD [Développement durable, ndlr] à rédiger ».

Le concept de pause vs le concept de rapidité : « Le nom SNARR, c’est une provocation pour le DD : je vous suggère de broder autour du mot « pause ».  Le temps que l’on prend pour manger a aussi son importance. En effet, le cerveau a besoin de temps. Il lui faut 20 minutes pour savoir que le corps est rassasié. La notion de temps  est de plus en plus importante dans la société. Si vous avez le concept de la rapidité, vous avez également la proposition du concept de pause.

La responsabilité: « Même si l’on n’aime pas la restauration rapide, on la vit. Parmi  ceux  vous choisissent, il y a ceux qui  aiment ça et ceux qui n’ont pas les moyens d’aller ailleurs pour une sortie familiale. Vous êtes acteurs de la sécurité alimentaire et vous avez une responsabilité environnementale,  sociale et psychologique. Vous devez être les partenaires durables d’une agriculture de qualité. C’est un devoir dans un environnement urbain. Vous devez avoir une politique sur la bio et sur la biodiversité qui préserve l’apprentissage du goût. Avoir une politique des achats qui ne soit pas une politique de marketing vert.

La restauration rapide, acteur social : La restauration rapide est un acteur social en raison du coût modeste de repas. Le DD introduit une certaine schizophrénie. Nous sommes dans une société  de consommation, avec rythme très rapide, tentatrice par objets technologiques. Dans le même temps, nous avons envie de préservation de la nature et de changement. La restauration rapide est au cœur de tout cela, elle représente un passage contraint dans lequel on voudrait retrouver nos valeurs.

Responsabilité sociétale : « Vous êtes également au cœur de la vie de famille. Or, c’est au sein de cette sphère que l’on apprend à manger, que l’on a des souvenirs de repas.  La restauration rapide accompagne le plateau télé : c’est un moment de non écologie humaine pour l’esprit. A vous de faire en sorte que cela soit positif pour le corps avec la nourriture ».

La restauration rapide et la crise : « Vous avez un rôle. Vous pouvez être des symptômes de crise si vous ne faites pas de DD. Mais également être des adoucisseurs de cette crise ».

21/03/2011

La Mie Câline : une réflexion environnementale profitable aux franchisés

Pas de logo vert ou encore de slogan accrocheur sur le stand de la Mie Câline, présente à Franchise Expo, Porte de Versaille. L’enseigne de terminaux de cuisson, sandwicherie et viennoiserie (un peu 200 unités  au 31 décembre 2010 dont 19 filiales), dont le siège est à Saint-Jean de Monts (85), a pourtant entamé, dès 2008, une réflexion sur son impact environnemental.  Le travail effectué sur les déchets a un impact auprès des franchisés. « Au niveau des magasins, nous avons une tolérance de 2 % de perte dus aux invendus » précise Lara Barreteau. La filiale de logistique intégrée et ses 8 plates-formes de redistribution sur l’hexagone, permet aux franchisés qui en prennent l’initiative de renvoyer les invendus (déchets organiques) lesquels sont ensuite  dirigés vers des filières de fabrication d’aliments pour animaux. Payante et optionnelle, cette prestation libère le franchisé de la gestion des invendus alimentaires, lesquels pourraient à terme lui coûter cher en termes Barreteau de fiscalité locale ou de recours obligatoire (de par la législation) à un prestataire privé. Pour l’instant, une dizaine de points de vente sur 200 font appel à la solution « intégrée » de LMM, la filiale logistique de l’enseigne.

Au  niveau du processus de fabrication, la décision de développer les produits mi-cuits surgelés a réduit la consommation énergétique dans les magasins. « Un four ventilé par unité a été supprimé, toutes les cuissons étant réalisées dorénavant dans un four à sole, poursuit Lara Barreteau, la place d’une chambre de pousse a été libérée. Pour le personnel, la pénibilité du travail s’en trouve réduite ».

Initié en 2010, le Bilan carbone® a démontré que les plus émissions de gaz à effet de serre provenaient pour 60 % de la fabrication des matières premières. Lara Barreteau, responsable Développement durable de l’enseigne, explique : « Nous avons dégagé plusieurs axes de travail dont celui sur les achats  responsables.  C’est une réflexion au niveau de la filière que nous allons devoir sans doute mener ». Un autre groupe de travail devrait s’intéresser au volet  social et sociétal.

En mars 2009, La Mie Câline a rejoint le Club Génération Responsable qui rassemble au sein de son Collège des enseignes comme L’Occitane, Monceau Fleurs, Happy, Rapid Flore, Truffaut, Groupe Yves Rocher, HSBC France… Une charte fédérant les membres sera signée le 4 mai prochain.

Photo©Restauration21 « En mai, les magasins auront de nouveaux sacs en papier, teinté à l’encre végétale », précise Lara Barreteau . Photo©Restauration21

13/03/2011

En photos – Snack végétal selon Pascal Favre d’Anne

Photo©Restauration21 La pensée verte a été mise à l’honneur lors du dernier Snacking & Sandwich Show. L’occasion de la mettre en pratique sur l’espace Snacking des chefs. En images, le snack végétal de Pascal Anne Favre, chef du restaurant Le Favre d’Anne à Angers (49), face au château. En mai prochain, il ouvrira une seconde adresse, dédiée à une offre snacking.

 

 

Photo©Restauration21 (2) Maki de concombre et mascarpone, parfumé au cumin, sel, poivre et ciboulette. Millefeuilles céleri-rave- pommes Granny, tranche de céleri-rave blanchies, tranches de pomme Granny-Smith, oignon rouge ciselé, petit caramel réalisé sans eau, mayonnaise. Sandwich pain de mie aux épinards, tranches de courgettes saisies dans l’huile, pain toasté, montage avec champignons crus. Photos©Restauration21

28/02/2011

McDonald’s et ses principaux fournisseurs agricoles veulent réduire « aussi rapidement que possible » leur empreinte environnementale

Pour sa 11e année consécutive de présence sur le Salon de l’agriculture, du 17 au 29 février derniers, McDonald’s avait construit son message sur de la présentation du travail réalisé avec ses principaux fournisseurs autour de 5 filières, le  blé (East Balt), le bœuf (McKey), la pomme de terre (McCain, Lamb Weston), le poulet (Cargill) et la salade (Crudi-Bakkavör). L’enjeu annoncé est de réduire « aussi rapidement que possible l’empreinte environnementale » du leader de la restauration rapide et de ses fournisseurs, soit de parvenir à une baisse des émissions de  gaz à effet de serre d’au moins 20 % d’ici à 2020 sur le périmètre global de l’enseigne, c'est-à-dire ses restaurants, ses filières d’approvisionnement et les déplacements de  ses clients. La gestion de l’eau, la protection de la biodiversité et l’amélioration du bien-être animal sont également concernés par la réflexion. Sur le terrain, les bonnes pratiques agricoles mises en œuvre dans des exploitations tests devraient être étendues à l’ensemble des producteurs fournisseurs. Les  659 MЄ d’achats de produits  finis destinés aux 1 195 restaurants situés en France sont fabriqués en Europe, avec près de 76 % d’entre eux fabriqués en France, le reste provenant des autres pays de l’Union Européenne et de la Suisse. Dans l’hexagone, l’enseigne sert  1,7 million de repas chaque jour.

23/02/2011

Vélobar : Des triporteurs solidaires au service de la restauration rapide


 

Restauration21,
découvrez le Magazine

Restauration21 - Le magazine de la restauration durable
Feuilleter en ligne le Magazine #10 de Restauration21

Idées

La newsletter de Restauration21

Sysco France

  • Grossiste alimentaire pour les professionnels

Les Halles Metro

  • Partenaire des restaurateurs & commerçants indépendants

Tournus Equipement

Ethic Ocean

  • Pour une pêche durable

Bon pour le climat

  • Un menu

Liens utiles-partenaires