317 articles publiés dans la catégorie "En bref- Actu"

20/01/2010

Les emballages recyclables sont-ils vraiment recyclés ?

La question nous vient d’Outre-Atlantique. Lu sur le site canadien d’Alternative Channel (http://www.alternativechannel.tv/blog/fr/index/2010/01/11/), l’article intitulé « St-Hubert devient vert » d’Alexa Tymocko présente la nouvelle gamme d’emballage 100 % recyclable de l’enseigne de rôtisserie de poulet : « Boîte individuelle fait de carton 100% recyclé et 35% postconsommation, contenant à salade de chou en plastique PETE 100% recyclable, plateau-repas et sac en papier brun 100% recyclables ainsi que contenant à sauce en carton à 93% et à 7% PEBD » L’auteur qui a testé le coffret fait un constat en demi-teinte : « Par contre, le recyclage comporte ses limites et surtout dans le domaine de la restauration. Je me suis retrouvée face à un dilemme lorsque ce fut le temps de laver les contenants pour les mettre dans ma boîte de recyclage. La boîte individuelle jaune était souillée de gras (frites et poulet). Je n’étais plus certaine de pouvoir recycler ma boîte de carton dite 100% recyclable. J’ai alors consulté Montréal recycle et découvert que les papiers et cartons souillés ou gras ne sont pas acceptés dans les bacs de recyclage. J’ai donc seulement recyclé le contenant à sauce et le contenant à salade de chou, le sac de papier étant lui aussi plein de résidus de matières grasses. Quelle déception! ». Pour voir l’animation : Les nouveaux emballages St-Hubert .

 

17/01/2010

Le sort du thon rouge est peut-être entre vos mains

A l’instar des chefs des de l’association Relais&Châteaux (lire la note : https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/11/les-cuisiniers-des-relais-ch%C3%A2teaux-sengagent-pour-une-p%C3%AAche-durable-.html), les restaurateurs peuvent peser de tout leur poids en faveur de la sauvegarde du thon rouge en ne le proposant plus du tout à leur carte. Une action pas si petite que cela en raison du retard pris par la France à afficher sa position officielle en matière de protection de cette espèce menacée de disparition. Du choix de la France pourrait dépendre la position finale de la Communauté européenne (balancée entres les pays « contre » la consommation de thon rouge et les pays situés autour de la Méditerranée et pratiquant ce type de pêche) lors de la prochaine conférence des parties de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacée d'extinction (CITES).

·     Rendez-vous au Seafood Summit 2010 du 31 janvier au 2 février 2010 à Paris : http://www.allianceproduitsdelamer.org et http://www.allianceproduitsdelamer.org/seafoodsummit.php

Lire également sur Restauration21 :

·     « Les choix des restaurateurs peuvent faire une vraie différence pour les océans », https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/11/les-choix-des-restaurateurs-peuvent-faire-une-vraie-diff%C3%A9rence-pour-les-oc%C3%A9ans.html

·     « Acheter du poisson : les bonnes questions à poser », https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/12/acheter-du-poisson-les-bonnes-questions-%C3%A0-poser.html

17/01/2010

Des conférences sur le bio et les allergènes en restauration à Agecotel à Nice

Le salon Agecotel (24ème salon professionnel de la filière hôtellerie-restauration du Grand Sud) qui se déroulera au Palais des Expositions à Nice (06)  du dimanche 31 janvier au mercredi 3 février inclus proposera des conférences axées développement durable.

·     Dimanche 31 janvier : 14h30-17h00 / Salle de Conférence Agecotel.

Conférence Alimentation, Santé, Environnement les Avantages du Bio.

 

Modérateur : Jean Montagard, Intervenants: Philippe Desbrosses, Philippe Courbon, Martine Grimaldi, HanhNguyen Ngoc.
 Le Dimanche 31 janvier s’ouvriront les portes d’Agecotel, 24ème salon professionnel de la filière hôtellerie-restauration du Grand Sud et rendez-vous obligé des CHR et des collectivités qui cherchent à accroître leurs performances.

 

·     Lundi 1er février : 17h00 / Salle 3ème étage.

« S.O.S des allergiques lancé aux Chefs de cuisine » (durée : 45 minutes).

Conférence de sensibilisation des professionnels de la restauration et des élèves des lycées hôteliers au problème de l’allergie alimentaire, animée par Jean-Bernard Vitiello – France 3.

·     Mardi 2 février : 14H30 à 17h00 / Salle de conférence Agecotel.

Conférence «Les Attentes en Alimentation Bio en Restauration Collective».

 

Modérateur : Christian Felter, Intervenants : Philippe Courbon, Martine Grimaldi, Caroline Rouveyrol, JosetteHart, Madame Pomero, Jean Luc Bonhomme, Christophe Baccialoni, Madame Muriel, Jean Federzoni, Marie Laure Gutierrez, Vincent Markovic, Jean Montagard.

 

Programme  sur www.agecotel.com

 

 

14/01/2010

Le SYNEG veut établir des fiches techniques sur les qualités environnementales des équipements de cuisine professionnelle

Le SYNEG (Syndicat National de l’Equipement des Grandes Cuisines) entend bien jouer un rôle dans la mise en place de normes environnementales appliquées au gros équipement de cuisine professionnelle (cuisson, préparation, manutention, réfrigération). Mercredi 13 janvier, lors de l’une des conférences données dans le cadre du Salon Ecorismo (Nantes), le Syndicat a présenté sa position et ses actions menées dans le cadre d’une démarche de développement durable. Déjà fortement impacté par les directives en matière de sécurité, d’hygiène, le secteur de la construction de gros matériel de cuisine doit prendre en compte de nouvelles contraintes environnementales : réglementation WEES et ROHS, REACH, éco-conception, émission  des GES (Gaz à effet de serre), gestion et traitement des emballages… « Nous devons devancer Bruxelles pour éviter que l’on  nous impose des mesures d’exécution inapplicables » a explique Thierry Allix, Secrétaire général du SYNEG. Celui-ci travaille actuellement à la définition de méthode de calcul de performances énergétiques sur les matériels de cuisson, réfrigération et laverie. Au niveau européen, l’EFCEM établit des référentiels par produits, fixant des méthodes qui soient approuvées par l’ensemble des constructeurs, la Commission Européenne devant publier des mesures exécutoires d’ici un an en s’appuyant sur des audits réalisés par des cabinets spécialisés. Des auditeurs que le SYNEG souhaite rencontrer afin de leur soumettre ses études en matière de calcul de performances énergétique des équipements.

La question de la fin de vie des équipements de grande cuisine

L’élimination des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) fait l’objet de deux directives européennes et d’un décret qui s’appliquent aux équipements des cuisines professionnelles. La réglementation impose aux producteurs (producteur, importateur, revendeurs sous marque propre) d’assurer l’organisation et le financement de l’enlèvement et du traitement des déchets issus d’équipements électriques et électroniques professionnels mis sur le marché à partir de 13 août 2005. Pour les équipements vendus antérieurement à cette date, les détenteurs ne doivent pas supporter les coûts liés à la collecte et au recyclage (sauf si accord différent entre les producteurs).

Les acheteurs (restaurateurs, professionnels des métiers de bouche) doivent être informés du dispositif mis en place par les producteurs pour les équipements en fin de vie.  Afin de couvrir ses adhérents au niveau national, le SYNEG a conclu un partenariat avec RECY’STEM-PRO, une société de services qui gère la collecte des DEEE et effectue les déclarations correspondantes auprès des services de l’ADEME. Les détenteurs d’équipement en fi de vie   appellent RECY’STEM-PRO qui se charge de la collecte et facture aux producteurs le service, 50 membres SYNEG étant adhérents à ce dispositif. « Nous avons demandé à l’ADEME d’engager des actions à l’encontre des producteurs non inscrits à l’ADEME et ne jouant pas le jeu », précise Thierry Allix. Au niveau des coûts, la dépense facturée par le collecteur est contrebalancée par le prix de revente des matières recyclables contenues dans les EEE et restituée par RECY’STEM-PRO. Renseignements : syneg@syneg.org

11/01/2010

Les témoignages des acteurs de la table ronde autour de la “Green attitude” en avant première sur Restauration21

Le Leaders Club, partenaire du salon Ecorismo qui se tiendra à Nantes (44), Parc des Expositions de la Beaujoire, les  13 et 14 janvier prochains, organisera une  table ronde le 13 janvier 2010 à 16h00 – Salle Nautilus  sur le thème :

"101 idées pragmatiques pour que la restauration adopte réellement la "Green attitude."

Les intervenants qui apporteront leurs témoignages :

Antoine Sauvage,  Directeur du Développement Durable et de l'Entretien du Patrimoine – Courtepaille

Alain Alexanian, chef de Cuisine spécialisé en Développement Durable.

Laurent Kahn, General Manager – Exki?

Découvrez dès maintenant et en avant-première leurs propositions recueillies précédemment par Restauration21.

Antoine Sauvage : L’électricité éolienne et la restauration. Questions à Antoine Sauvage, directeur DD de Courtepaille

https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/11/l%C3%A9lectricit%C3%A9-%C3%A9olienne-et-la-restauration-questions-%C3%A0-antoine-sauvage-directeur-dd-de-courtepaille.html

Alain Alexanian : Une charte du DD pour les cuisiniers signée Alain Alexanian en partenariat avec le WWF

https://www.restauration21.fr/restauration21/2009/12/une-charte-du-dd-pour-les-cuisiniers-sign%C3%A9e-alain-alexanian-en-partenariat-avec-le-wwf.html

Laurent Kahn : Exki a choisi l’empreinte écologique 

https://www.restauration21.fr/restauration21/2010/01/exki-a-choisi-lempreinte-%C3%A9cologique.html

08/01/2010

Sélection bio pour Transgourmet

Transgourmet propose son premier catalogue bio : "Sélection Bio », qui est distribué en supplément du catalogue Transgourmet de janvier. Les professionnels du secteur y trouveront une centaine de produits labellisés AB.

Transgourmet tableau-bio

08/01/2010

Ekibio crée une plateforme de distribution de produits bio pour la restauration scolaire

Ekibio (ex Euro-Nat ) a créé une nouvelle société, Vectabio, basée à Valence, une plateforme de distribution de produits bio pour les cantines d'établissements scolaires et autres structures.Au début de son fonctionnement programmé en  mars 2010, l’activité d’ Ekibio  concernera uniquement la Drôme-Ardèche.  « Saint-Etienne s'est engagé à ce qu'il y ait 50 % de bio dans les cantines scolaires en 2010 puis 100 % en 2011. Ce sont des gros volumes », précise Didier Perréol, le fondateur et directeur de l’entreprise. Ekibio devrait également acheter trois sociétés, cette année, sur le secteur alimentaire.

Source : http://www.ledauphine.com

06/01/2010

Terroir, tradition et lien social au marché aux truffes de Richerenches

De 10 heures à midi, le Cours du Mistral et l'Avenue de la Rabasse à Richerenches (84) accueillent un marché très particulier : le marché de la truffe (Melanosporum). Peu de bruit, mais de multiples tractations discrètes entre récoltants, grossistes, courtiers spécialisés. Les truffes sélectionnées par les grossistes sont placées dans le coffre des voitures jalousement gardées. Pas de circulation d’argent entre professionnels reconnus. Des petits papiers échangés entre les parties contractantes servent de base aux  transactions dont le règlement ultérieur repose sur le respect de la parole donnée. Une bonne occasion pour les restaurateurs de découvrir in situ la première étape du cheminement du précieux diamant noir. Le marché dure jusqu’au 31 mars. En attendant, rendez-vous le  17 janvier prochain pour la  vente aux enchères organisée sur la place de l’Hôtel de Ville, tout juste après la messe des Truffes (10 heures 30) destinée à rendre hommage à Saint-Antoine, le patron des trufficulteurs. Au moment de la quête, les pièces de monnaie peuvent être remplacées par des truffes qui seront ensuite vendues aux enchères.

Truffe

05/01/2010

RGC Restauration prépare le Grenelle

RGC Restauration prépare les échéances du Grenelle qui stipule que  20 % de la nourriture servie en restauration collective soit bio d’ici à 2012. L’enseigne de restauration collective a construit un cahier des charges en collaboration avec une dizaine d’écoles privées de la région parisienne dans lequel elle s’engage à ne servir que des poissons issus de la pêche durable, à bannir les plats issus de l’industrie agroalimentaire ou contenant des OGM, à proposer des légumes et des fruits, à réduire la consommation de viande. En ce qui concerne l’utilisation de produits bio, ils sont intégrés au menu lorsque l’approvisionnement le permet tout comme les produits portant le label Rouge. RGC a également mis en place une politique de gestion de ses déchets. (Source : Les Echos).

04/01/2010

Faire le point sur les déchets de son restaurant ou de son activité traiteur

Toute entreprise a l’obligation d’assurer ou de faire assurer la gestion, la collecte, le transport, le traitement et l'élimination des déchets de son activité, de réduire leur production, de maîtriser les coûts de traitement. La production d’un repas en restauration représente en moyenne 330 g d’eau grasse, 520 g d’emballage  et 30 ml d’huiles alimentaires usagées. D’où une première série de questions à se poser au préalable, histoire de faire le point en ce début d’année. Et de se mettre en ligne avec les futures exigences du Grenelle 2 de l’Environnement.

·     Dresser un inventaire détaillé des déchets de l'entreprise : organiques, cartons, emballages, verres, huile usagée de friture…  Dans tous les cas l'entreprise est soit productrice des déchets (à l'origine de ceux-ci), soit détentrice (intermédiaire dans la chaîne d'élimination).

·     Déterminer le code "nomenclature" de chaque catégorie de déchets. Pour l’activité de restauration, il s’agit principalement des suivantes :

Catégorie 02 : Déchets provenant de l'agriculture, de l'horticulture, de l'aquaculture, de la sylviculture, de la chasse et de la pêche ainsi que de la préparation et de la transformation des aliments.

Catégorie 20 : Déchets municipaux (déchets ménagers et déchets assimilés provenant des commerces, des industries et des administrations), y compris les fractions collectées séparément.

Il s’agit de déchets industriels non dangereux ou banals (DND ou DIB) : certains déchets des entreprises peuvent être assimilés à des déchets ménagers lorsqu'ils n'ont pas un caractère dangereux ou polluant. C'est le cas du papier, du carton du verre, etc., non souillés par des substances dangereuses. Si les collectivités ont l'obligation de collecter les déchets des ménages cela n’est pas le cas pour la collecte de  ceux des entreprises. Localement, si les collectivités organisent la collecte de ce type de déchets auprès des entreprises, celle-ci est limitée à un volume hebdomadaire de 1 100 litres. En contrepartie, l'entreprise doit payer à la commune soit une redevance spéciale permettant le financement de ce service ou une redevance générale d'enlèvement des ordures ménagères instaurée par la collectivité. L'accès à une déchetterie gérée par la collectivité peut-être également possible. En l'absence de collectes ou services mis en place par la collectivité et au-delà du volume hebdomadaire de 1 100 litres, l'entreprise doit obligatoirement faire appel à un prestataire chargé de collecter, valoriser ou éliminer ce type de déchets. Important : Aucun déchet produit pendant l'activité de l'entreprise n'est assimilable à un déchet ménager.

·     Estimer les quantités générées pour chacun des déchets (par semaine / par an),

·     Analyser les possibilités de valoriser les déchets dans l'entreprise (recyclage, retraitement),

·     Répertorier les prestataires agréés susceptibles de stocker (si le stockage conforme aux conditions de la réglementation n'est pas possible dans les locaux), transporter et traiter les déchets,

·     Veiller à conserver les documents prouvant la gestion des déchets (bordereaux de suivi, registre de déchets dangereux),

·     S'informer sur la destination et le suivi des déchets traités,

·     Calculer le coût des traitements pour intégrer cet élément lors de l'établissement de vos devis et factures.

La gestion des déchets passe par différentes étapes, les principales étant pour la restauration le tri en veillant à ne pas mélanger les différents déchets et ainsi permettre un traitement propre et la valorisation "matières" par le recyclage (exemple : papier, verre, carton). A chacune de ces étapes, l'entreprise doit soit procéder elle-même au tri et à la valorisation des déchets dans des installations agréées, soit les céder par contrat à l'exploitant d'une installation classée agréée, soit les céder par contrat à un intermédiaire assurant une activité de transport négoce ou courtage de déchets.

Attention : Il est interdit de rejeter des déchets non conformes dans le réseau d'assainissement collectif.

Pour découvrir les filières adaptées aux déchets de votre entreprise, vous pouvez questionner les services de la collectivité locale en charge de la gestion les déchets ménagers et assimilés ainsi que la déchetterie, vos fournisseurs, les syndicats et fédérations professionnelles en liens avec l'activité de votre entreprise, le service ou conseiller « environnement » de la chambre de commerce et d'industrie ou de la chambre de métiers et de l'artisanat, la direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement (DRIRE).

Chaque restaurateur est responsable de ses déchets. Tous les déchets sont concernés : ceux directement générés par l'activité (par exemple les huiles végétales utilisées pour la cuisson des aliments dans la restauration). La remise des déchets à un prestataire ne retire pas la responsabilité de l'entreprise productrice ou détentrice, celle-ci est alors partagée avec les tiers chargés du transport, stockage, traitement et élimination.

 A retenir :

Les huiles usagées (minérales ou synthétiques)

Vous ne devez pas :

  rejeter vos huiles usagées dans la nature (terre, eau)

  les brûler (hors ICPE autorisée à cet effet)

  les mélanger avec une autre substance (eau, liquide de frein…)

Vous devez :

  les stocker dans un contenant étanche

  les remettre à un ramasseur agréé.

Dans certaines conditions (quantité minimale), le ramassage est gratuit. Il est financé par une taxe prélevée sur le prix des huiles neuves.

Source : Les obligations réglementaires des entreprises concernant leurs déchets – Janvier 2008 – ADEME – 115 p.

Déchet ménager ou non ?

Est un déchet ménager tout déchet produit par une activité non professionnelle au domicile. A l’inverse, est un déchet d'entreprise tout déchet non- ménager.

Le mot "entreprise" doit donc s'entendre ici au sens large. Il inclut notamment : les activités tertiaires (services, transports…), les très petites entreprises (artisans, commerçants et profession libérale), le secteur privé et public (administration, armée, enseignement, police…).

Informations sur : http://www.limoges.cci.fr/documents/fiche-restauration06a.pdf

 

Restauration21,
découvrez le Magazine

Restauration21 - Le magazine de la restauration durable
Feuilleter en ligne le Magazine #10 de Restauration21

Idées

La newsletter de Restauration21

Ecolab

  • Solutions d’hygiène durables

Metro

  • Partenaire des restaurateurs & commerçants indépendants

Chef’Eco

  • Gestion des déchets et du gaspillage alimentaire

Tournus Equipement

Ethic Ocean

  • Pour une pêche durable

Bon pour le climat

  • Un menu

Liens utiles-partenaires