79 articles publiés dans la catégorie "Emballages"

25/01/2021

So Urban, des coupelles en verre réutilisables et consignables signées Arc

Les coupelles sont vendues entre 1,16 € et 1,88 € selon la taille.

Le verrier français entre sur le marché de la restauration en click & collect et en livraison avec une solution alternative aux emballages et à la vaisselle jetables.

Arcoroc, spécialiste des arts de la table, investit  le marché de la RHF avec la gamme So Urban. Des coupelles en verre, fermées par un couvercle en plastique PE (polyéthylène) sans BPA, adaptées à tous les segments de la restauration – traditionnelle, rapide  et collective – délivrée en click & collect et en livraison. Dotés d’un QR code, les contenants sont consignables et intégrables dans une logistique de collecte et de lavage. 4 tailles de coupelles  (25 c, 37 cl, 58 cl et 80 cl) et 2 tailles de couvercles (110 mm et 140 mm) sont proposées.

« Depuis 2 ans, nous travaillons sur une nouvelle catégorie de produits durables et réemployables » explique Tristan Borne, Président-directeur général d’Arc France. Outre le fait qu’ils répondent aux contraintes réglementaires et environnementales qui s’imposent aux restaurateurs, les contenants ont été conçus pour un usage professionnel. Ils sont 30 % plus légers et  2 à 5 fois plus résistants qu’un modèle ‘grand public’, ils peuvent supporter 2 000 cycles de lavage industrie et des écarts de température de 130 ° C.  Parfaitement étanches, ils résistent aux vibrations et chocs liés aux transports. Enfin, ils sont parfaitement empilables pour un stockage optimisé et adaptés aux racks standard en 40X60 de la restauration. (suite…)

18/01/2021

Elior teste les contenants consignés

©Nicolas Lascourrèges

Pour atteindre le zéro déchet, le restaurateur a mis en place un pilote avec Uzaje.

C’est dans restaurant inter-entreprises situé dans le quartier d’affaires de La Défense qu’Elior propose un nouveau dispositif de contenants réutilisables aux convives qui consomment  leur repas sur place ou emportent des plats. Mis en place avec Uzaje, entreprise spécialisée dans les solutions liées au réemploi des contenants alimentaires, le pilote fonctionne depuis 2 mois. A son passage en caisse, le convive  présente son badge d’identification et le code d’identification situé sur le contenant durable. Il rapporte ensuite son contenant  à la fin de son repas ou quelques jours plus tard. Des rappels lui sont envoyés en cas d’oubli.

«Nous avons conçu un dispositif simple pour les équipes comme pour le convive, avec un système de traçabilité permettant d’éviter une consigne tout en s’assurant des retours », détaille Emmanuel Auberger, fondateur d’Uzaje. Les contenants en verre léger, choisis parmi la gamme de vaisselle SoUrban d’Arcoroc (Arc France) sont lavés sur place. (suite…)

06/11/2020

Le Jardin Gourmand opte pour le click & collect en verre consigné

Les plats sont livrés chauds. ©Le Jardin Gourmand

Issue du  confinement, l’offre en click & collect ouvre de nouveaux débouchés au-delà de la crise sanitaire.

Comment se lancer dans le click&collect sans renoncer à ses principes éco-responsables ? A Lorient, Le Jardin Gourmand propose les plats de sa carte en vente à emporter, dressés « comme au restaurant »  dans des plats rectangulaires en verre (Pyrex). Pensée pendant le premier confinement et lancée en juin, l’activité de vente à emporter sur commande en ligne coexiste dorénavant avec la restauration sur place et  prend le relai lors des périodes de restriction d’activité. Tous les mercredis à 16 heures, Arnaud Beauvais, le patron, met en ligne sur une interface dédiée du site de son restaurant les plats proposés en VAE, du jeudi au dimanche, au déjeuner et au dîner. Une option livraison par les taxis lorientais est proposée dans un périmètre de 15 minutes.

Une étiquette environnementale pour Le Jardin Gourmand à Lorient

« Notre formule a été pensée pour pérenniser l’avenir de notre entreprise tout en préservant l’environnement au maximum, comme nous tâchons toujours de le faire au mieux depuis 30 ans » explique Arnaud Beauvais.  En cuisine, la cheffe Nathalie Beauvais traite ces commandes en ligne de la même façon que celles de la salle. Les préparations sont réalisées à la minute en fonction des heures programmées de collecte, le dressage est minutieux, les sauces sont placées dans un petit bol en verre pour ne pas détremper le plat… Trois contenants ont été sélectionnés : un plat rectangulaire de 17 X10 cm pour les entrées, un autre de 20 x 15 pour les plats et un bol pour les sauces et certains desserts. Fermés par un couvercle hermétique et étanche, ils sont facturés aux clients entre 6 et 9 € en cas de casse ou de non restitution. (suite…)

18/09/2020

Pandobac propose une livraison zéro déchet d’emballages aux grossistes et aux restaurateurs

Shu Zhang et Fanny Van Themsche ont présenté leurs bacs au Sirha Green 2020. ©Restauration21

Créée en 2018, la startup a levé 1,2 M€ pour se développer en France.

Comment s’affranchir des cartons de livraison et autres cagettes en polystyrène à usage unique qui encombrent les poubelles des restaurants ? En les remplaçant par des bacs réutilisables et empilables. Installée à Rungis, la startup Pandobac propose aux grossistes et à leurs clients restaurateurs cette solution logistique zéro déchet. Le tout en réalisant des économies et en gagnant de l’espace de stockage. Les bacs de transport  sont récupérés chez le restaurateur à la livraison suivante, lavés dans  le centre de lavage industriel de Pandobac situé sur le MIN puis remis dans la boucle. Un QR code assure leur suivi pour éviter les pertes.

« 3 000 Pandobacs sont en rotation à ce jour » se félicite Shu Zhang, co-fondatrice, également créatrice du restaurant Maguey. Une quinzaine de grossiste les ont adoptés, ce qui représentent 240 restaurants utilisateurs. «On démarche aussi les restaurants car ils peuvent imposer à leur fournisseur des bacs réutilisables pour les livraisons. »

Abonnement mensuel
(suite…)

14/09/2020

Une consigne digitale en test chez Franprix pour un repas zéro déchet

Le client déconsigne le contenant sur le collecteur.

Depuis le 10 juillet, Franprix teste un dispositif d’emballages réutilisables consignés conçu par la start-up La Consigne GreenGo sur 2 magasins pilotes parisiens situé dans les 8e et 7e arrondissements. Les plats sont vendus dans des contenants en verre (proposés en 3 tailles) et consignés 2 €. Un montant que le client paie en même temps que ses produits. Une fois son repas consommé, il dépose l’emballage en verre dans le collecteur après avoir scanné son QR code. Un geste qui lui permet de récupérer un bon d’achat de 2 € valable dans tous les magasins de l’enseigne.

Les résultats enregistrés sur un mois et demi sont encourageants. Sur 465 produits avec emballages consignés vendus, 232 ont été rapportés. Et 65,5 % des bons d’achat générés  ont été utilisés.

Un circuit court de collecte et de lavage
Le dispositif s’appuie sur un circuit court de collecte et de lavage des emballages en verre. Une fois par semaine, une équipe logistique se rend dans les sites Franprix  pour livrer un stock d’emballages propres et reprendre les sales. Acheminés dans des véhicules au gaz naturel dans un ESAT, ils y sont lavés, reconditionnés et repartent dans les magasins. Le tout dans un rayon de 30 km maximum autour du point de collecte. (suite…)

09/09/2020

DOSSIER – L’emballage éco-responsable, élément clé de l’expérience client

Le Magazine #4 de Restauration21 existe en version digitale et papier.

L’adéquation entre l’emballage, réutilisable ou à usage unique compostable, et le produit proposé est un élément de réassurance, dans des conditions d’hygiène parfaites.

Stoppés net dans leur activité durant plus de deux mois en raison de la crise sanitaire, de nombreux professionnels ont réinventé leur offre autour du click & collect. Le consommateur passe sa commande en ligne, la paie et vient la récupérer dans le point de vente à une heure fixée. Une pratique, complémentaire de la livraison et déjà bien implantée dans  la restauration rapide. Au pied du mur, la restauration traditionnelle s’en est emparée,  les chefs trouvant dans la vente de  repas commandés à emporter une petite bouffée d’oxygène bienvenue pour leur trésorerie.
Traiteur organisateur de réceptions, la Maison Pennarun (29) a  vu fondre son carnet de réservations comme neige au soleil. En réaction et pour conserver un lien avec ses clients, elle a développé des kits, une offre de menu, d’apéritifs et de pique-nique en vente à emporter (VAE). « Plus que de privilégier des matières, nous avons surtout réfléchi à minimiser les emballages… A la fois, pour une question d’engagement évidemment, mais aussi pour une question de cout bien sûr ! Ensuite, nous essayons de trouver des emballages que nos clients pourront facilement réutiliser. Pour nos kits, par exemple, nous utilisons des grandes bourriches d’huitres, qui pourront facilement trouver une 2ème vie au bureau ou à la maison » détaille Claire Pennarum,  DG du traiteur Maison Pennarun.

Lire la suite de cet article dans le Magazine #4 de Restauration21

Au sommaire du  dossier :

Le verre en embuscade.

La paille, la manger ou s’en passer.

 

01/07/2020

Les acteurs de la livraison de repas à domicile ont 3 mois pour élaborer une stratégie zéro déchet

Brune Poirson réemploie avec les acteurs de la livraison de repas à domicile les méthodes utilisées il a quelques mois avec ceux de la restauration rapide. Deliveroo, Uber Eats, Just Eat, Sushi Shop, FoodChéri, Pop Chef, Frichti, Nestor, Stuart ont 3 mois pour lui présenter une stratégie zéro déchet. Ces enseignes étaient réunies ce matin au ministère de la Transition écologique et circulaire ainsi que Zero Waste France, Surfrider, En boite le plat, GreenGo, Reconcil, Uzaje, acteurs du recyclage et de l’économie circulaire.

« Avec 200 millions d’euros de repas livrés rien qu’en 2018, si nous n’engageons pas ce secteur résolument dans la transition écologique, alors nous allons très vite crouler sous leurs déchets plastiques dont un grand nombre ne sont pas recyclables. De nouveaux modèles existent comme la consigne. Il est temps de passer du tout jetable au tout réutilisable. Ils ont maintenant trois mois pour y travailler » a déclaré  Brune Poirson. (suite…)

13/02/2020

Les collecteurs GreenGo à l’assaut de la restauration

Lucas Graffan, co-fondateur de GreenGo. ©Restauration21

En un an, 1,7 tonne des déchets d’emballages pourront être évités sur le concept de restauration rapide « Bien Fait », l’un des  cinq points de restauration de la Tour Basalte de la Société Générale à la Défense, gérés par Compass (concept Exalt). Comment ? Grâce à la consigne digitalisée de contenants en verre mise en place par GreenGo, une start-up de l’économie sociale et solidaire. Les salades sont servies à la demande dans des bocaux (deux tailles, Weck) consignés 2 €, fermés par un couvercle en plastique (sans PBA) réutilisable. A la caisse, l’appli permet en un clic de gérer le paiement de la consigne. Son repas terminé, le client place son bocal vide et le couvercle dans le collecteur situé sur l’espace de restauration, capable de reconnaitre la forme du contenant et son intégrité. Les 2 € sont crédités sur sa cagnotte digitale GreenGo. Le crédit sur son compte entreprise sera possible à partir du mois de mai. Sur le site Basalte, le nettoyage des contenants est réalisé sur place par les équipes Compass. (suite…)

16/10/2019

Restauration rapide : uniformiser le tri des emballages pour mutualiser les collectes

Retrouver le dossier complet dans le Magazine #3 de Restauration21

Forte affluence mardi 15 octobre à la demi-journée organisée par le Snarr (Syndicat National de l’Alimentation et de la Restauration rapide) sur la problématique du tri 5 flux en restauration rapide. Pour rappel, un décret de 2016 oblige les entreprises et donc les enseignes de restauration rapide à mettre en place le tri 5 flux pour collecter les emballages en papier/carton, métal, plastique, verre et bois dans 5 poubelles distinctes. Sommées au début de l’été par Brune Poirson de mettre leurs restaurants en conformité, des enseignes se tournent vers des prestataires privés de collecte qui leur assurent que les déchets seront effectivement retriés, valorisés et tracés. Les premières à avoir expérimenter cette solution l’ont fait seules, organisant, par exemple,  la collecte sur leur parc parisien, comme Cojean ou Exki. Ce qui nécessite des moyens et implique un nombre de sites suffisamment élevés et regroupés sur une même zone géographique pour justifier la mise en place d’une telle organisation.

Pour les autres, aux parcs plus modestes ou plus dispersés, la solution pourrait être la mutualisation : se regrouper pour organiser une collecte commune des emballages par un prestataire extérieur garantissant valorisation et traçabilité des déchets collectés. C’est dans ce but que le Snarr a lancé auprès de ses adhérents une enquête afin d’évaluer la quantité de déchets produite quotidiennement sur leurs différents sites. Des données qui permettront ensuite de constituer des “grappes” de restaurants situés sur une même zone géographique, des circuits de collecte qu’elles confieront ensemble à un prestataire. Seul impératif : elles doivent au préalable uniformiser leur  tri. (suite…)

Restauration21,
découvrez le Magazine

Restauration21 - Le magazine de la restauration durable
Feuilleter en ligne le Magazine #10 de Restauration21

Idées

La newsletter de Restauration21

Ecolab

  • Solutions d’hygiène durables

Metro

  • Partenaire des restaurateurs & commerçants indépendants

Chef’Eco

  • Gestion des déchets et du gaspillage alimentaire

Tournus Equipement

Ethic Ocean

  • Pour une pêche durable

Bon pour le climat

  • Un menu

Liens utiles-partenaires