143 articles publiés dans la catégorie "Gaspillage"

14/10/2019

Serbotel 2019 – Une table-ronde sur le gaspillage alimentaire animée par Restauration21 le 21 octobre

Rendez-vous le 21 octobre de 12 heures à 13 heures sur l’Espace Démos Conférences du salon Serbotel,  dans le Grand Palais, niveau 3 du Parc des Expositions à Nantes (44). Au programme : une heure d’échanges autour d’ initiatives de professionnels de la restauration commerciale pour lutter contre le gaspillage alimentaire en amont, pendant et après le service.

Les intervenants seront :
Coralie Menuge, restaurant (zéro déchet) Jargus à Nantes, adhérente GNI Grand Ouest ;
Didier Fontes, chef du Comptoir Joa (Casino des Pins) aux Sables d’Olonne et adhérent UMIH 85 ;
Claire Pennarun, vice-présidente des Traiteurs de France , en charge du dossier RSE, directrice générale de la Maison Pennarun ;
Bruno Houppermans, créateur de l’entreprise Chef’Eco (meuble de tri pour la restauration) et de l’appli Click&Don ;
Alain Godicheau, réseau Restau’Co (restauration collective en gestion directe).

Durant toute la durée du salon, des temps forts seront dédiés à la restauration responsable.

Télécharger une invitation.

www.serbotel.com

Du 20 au 23 octobre, Parc des Expositions, Nantes.

14/10/2019

Gaspillage alimentaire – Plus de 100 articles sur Restauration21 à la disposition des professionnels

Plateau restauration scolaire

©Restauration21

Comment réduire les quantités jetées en restauration commerciale et collective ?
Retrouvez sur Restauration21 les initiatives et les bonnes pratiques mises en œuvre par des professionnels de plus en plus engagés.
Comment ? En allant directement sur la rubrique gaspillage.

En 2016, l’Ademe chiffrait à 10 millions de tonnes la quantité de nourriture gaspillée en France chaque année, tous les acteurs et toutes les filières alimentaires confondus, soit 18 % de la production alimentaire. Considérant que 9 643 millions de repas sont consommés hors domicile en France, l’agence évaluait à 1,33 millions de tonnes de produits (soit 21 kg par personne et par an) la masse de pertes et gaspillages en restauration commerciale et collective.  Soit un coût financier de 2,13 milliards d’euros et un impact carbone de 2 034 900 tonnes équivalent CO2.

Programmée le 16 octobre, la Journée Nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire, poursuit l’objectif d’inciter à réduire de 50 % le gaspillage sur l’ensemble de la chaîne alimentaire à l’horizon 2025.

14/10/2019

Restauration d’entreprise : 71 % des salariés veulent réduire le gaspillage alimentaire

A l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire, le 16 octobre, l’association  Paris La Défense dévoile  les résultats du sondage mené fin septembre auprès de plus de 400 salariés du quartier d’affaires de l’ouest parisien. Il s’agissait d’y évaluer l’ampleur du gaspillage alimentaire, de connaître l’état d’esprit des salariés y travaillant et de déterminer leur capacité à adopter des comportements de consommation plus responsables dans leur restaurant d’entreprise.

Les résultats sont plutôt encourageants ; 61% des salariés sont conscients d’occasionner du gaspillage alimentaire lorsqu’ils déjeunent dans leur restaurant d’entreprise et ils sont 71 % prêts à modifier leurs habitudes afin de limiter les quantités jetées. Et ce, de multiples façons : 75 % des salariés affirment être prêts à payer leur pain dans leur restaurant d’entreprise, 90 % sont enclins confirmer la veille leur présence au déjeuner, 86 % accepteraient d’avoir un choix plus limité au menu en fin de service et 43 % se disent prêts à acheter, auprès de leur restaurant d’entreprise, certains plats invendus pour les emporter. (suite…)

24/09/2019

L’antigaspi et le tri au programme du Bocuse d’Or France 2019

Serge Vieira, Nicolas Gruner (Meilleur Commis), Tom Meyer (Bocuse d’argent), Davy Tissot (Bocuse d’Or France 2019), Romain Masset (Bocuse de bronze). © Studio Julien Bouvier

«Tu ne gaspilleras pas, tu ne jetteras pas ». Gare au candidat qui ne respectait le 6e commandement (sur 10) du Bocuse d’Or dont la sélection France s’est déroulée les 23 et 24 septembre à la Maison de la Mutualité (Paris 5e). La lutte contre le gaspillage alimentaire, l’optimisation de l’utilisation des matières premières et le tri des déchets, qui pesaient 75 points sur 600 pour la partie cuisine, étaient dans la ligne de mire des 4 chefs du jury cuisine.
« On leur demande de travailler la ressource au maximum. Les morceaux non utilisés ne doivent pas aller à la poubelle, expliquait Serge Vieira, Bocuse d’Or 2005. Faire attention au tri, c’est aussi une bonne façon d’organiser son box de travail ». Des contraintes qui semblaient bien gérées pour certains : le premier jour des épreuves, un candidat est venu avec ses 2 poubelles qu’il a placées dans son box.

Sur 5 heures, le programme était dense pour les 8 candidats : sublimer l’artichaut à travers une assiette végétale, servi froid au chaud pour 8 personnes et décliné de 3 façons minimum ;  sortir un plat chaud de lapin en barons pour 8 personnes avec 3 garnitures. Comment évaluer le gaspillage dans ce marathon ?  Juste avant le début des épreuves, les candidats se servent en matières premières, en fonction de leurs recettes. En rapprochant la quantité prise et le résultat final sur l’assiette ou le plateau, le jury évalue le gaspillage éventuel . «Un candidat qui servirait l’équivalent de 2 artichauts alors qu’il en a pris au départ une dizaine serait pénalisé » poursuit le président de la Team France. (suite…)

03/06/2019

Entre 12 500 à 13 600 repas seraient jetés par les restaurants d’entreprises de La Défense

Entre 6 et 9 tonnes de nourriture encore consommable seraient jetées quotidiennement sur l’ensemble des restaurants d’entreprises du quartier de La Défense. Soit entre 12 500 à 13 600 repas perdus. Cette estimation repose sur les résultats de 2 campagnes de pesées menées dans les  tours d’Allianz France, Arpège (Elior), Eurest (Compass), Mazars et Suez, extrapolés aux 70 tours et 180 000 salariés de Paris La Défense, dont la moitié déjeunerait dans un restaurant collectif d’entreprise. L’audit retient comme base un repas complet de 550 à 600 grammes.

Lors de 2 campagnes de pesées de 3 jours, en juillet 2018 et janvier 2019, les quantités servies aux convives, celles jetées par ceux-ci, celles jetées et celles conservées en cuisine ont été mesurées avec une méthodologie commune. Entre les 2, une série de premières actions menées au sein des restaurants ont permis de réduire de  23 % le gaspillage. (suite…)

27/05/2019

Elior va donner ses surplus alimentaires à la Fédération Française des Banques Alimentaire

Jean-François Marty, directeur des Affaires publiques d’Elior et Laurence Champier, directrice fédérale des Banques Alimentaires ©Elior France.

Grâce  à un accord cadre signé le 23 mai entre Elior et la Fédération Française des Banques Alimentaires (FFBA), les 66 cuisines centrales et 9 700 restaurants du premier ont la possibilité de donner leurs surplus alimentaires – produits bruts ou produits cuisinés – via le maillage nationale des 79 banques alimentaires avec 5 400 associations locales. Scolaire, santé, entreprise.., tous les segments  d’activité du restaurateur sont concernés. Chaque banque alimentaire interviendra de 2 manières. Soit directement, en récupérant les dons auprès des établissements Elior et en trouvant elle-même les associations à qui les remettre. Soit indirectement, en référençant l’association qui viendra récupérer les dons auprès de l’établissement et qui les distribuera aux destinataires finaux. Une première expérimentation sera prochainement lance à Lyon.

« Travailler avec Elior est une formidable opportunité pour le réseau des Banques Alimentaires. Nous espérons ainsi aller encore plus loin dans nos actions de lutte contre le gaspillage alimentaire et conforter notre engagement auprès des personnes bénéficiaires de l’aide alimentaire », se félicite  Laurence Champier, directrice fédérale des Banques Alimentaires. (suite…)

20/05/2019

Sodexo veut réduire de 50 % son gaspillage alimentaire d’ici 2025

A l’occasion de la conférence Tech for Good Summit, le 15 mai, Denis Machuel, directeur général de Sodexo, a annoncé le déploiement du programme de réduction du gaspillage alimentaire basé sur la data, WasteWatch. 3 000 sites exploités par le leader mondial de la restauration  à travers le monde sont concernés d’ici 1 an.

Développée par  Leanpath, une plate-forme complète de prévention du gaspillage alimentaire, comprenant des outils de collecte de données, des analyses en graphique et un coaching d’experts, réduit en moyenne de moitié la nourriture gaspillée. « Nous devons mesurer la quantité de nourriture gaspillée sur chacun de nos sites de restauration, et nous nous engageons à communiquer ces chiffres afin de montrer l’urgence et nous motiver à faire toujours plus »,  souligne Denis Machuel, le directeur général de Sodexo.

(suite…)

27/03/2019

Sur le salon M.A.D.E, Too Good To Go a transformé les invendus des restaurants Areas en 30 paniers repas

TooGoodToGo_logoA l’occasion du salon M.A.D.E qui s’est déroulé les 19 et 20 mars derniers à la Porte de Versailles, Too Good To Go, l’application leader de lutte contre le gaspillage alimentaire, et Areas, le concessionnaire de Paris Expo, ont noué un partenariat pour sauver les invendus des 3 restaurateurs présents dans le hall 7.1 et sensibiliser  les visiteurs au gaspillage alimentaire. Sur ces 2 jours, 30 paniers repas, constitués de 2 sandwiches et d’un dessert, ont été vendus en fin de journée aux visiteurs pour 3,99 € chacun, au lieu de finir à la poubelle.

« C’est la première fois que nous proposions un partenariat dans le cadre d’un événement B2B. C’est une formidable opportunité pour sensibiliser les visiteurs, professionnels de la distribution agroalimentaire, leur montrer concrètement comment Too Good To Go fonctionne et peut les aider à réduire leur gaspillage alimentaire », s’est félicitée Camille Colbus, directrice générale adjointe de Too Good To Go.

21/12/2018

Lucie Basch, créatrice de Too Good To Go, nommée « Femme d’Influence 2018 »

Lucie Basch

Lucie Basch a créé Too Good To Go en 2016

Lucie Basch, créatrice de Too Good To Go, a été nommée « Femme d’Influence 2018 » dans la catégorie Économique Espoir le 17 décembre dernier.  Pour sa 5e édition,  le prix de la Femme d’Influence 2018, créé  par Patricia Chapelotte, présidente du club Génération Femmes d’Influence,  a récompensé  6 femmes dans les catégories politique, économique, culturelle et coup de  cœur. En un peu plus de deux ans, l’application Too Good To Go, qui met en relation des commerçants (5 500 commerçants utilisateurs) soldant leurs invendus et des consommateurs,  a permis de sauver 3 millions de repas de la poubelle depuis juin 2016 en France. Et sur les 9 pays où elle est implantée,  la solution totalise 8 millions de repas sauvés.

Lire aussi :

Flunch Café adopte Too Good To Go, le 20/07/2018.

15/10/2018

Gaspillage alimentaire : 84 articles sur Restauration21

Le 16 octobre, journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire ! Créée en 2013, cette journée a pour objectif d'inciter à réduire de 50 % le gaspillage sur l’ensemble de la chaîne alimentaire à l'horizon 2025. Au service de la profession, Restauration21 s'efforce de mettre en avant initiatives et bonnes pratiques. Et propose à ses lecteurs 84 articles sur le sujet. A découvrir à la rubrique gaspillage.

 

A noter : la loi Agriculture et Alimentation votée le 2 octobre dernier :

 

– instaure l'obligation du doggy bag  :

Les établissements de restauration commerciale et les débits de boissons à consommer sur place devront mettre  à la disposition de leurs clients qui en font la demande des contenants réutilisables ou recyclables permettant d’emporter les aliments ou boissons non consommés. Le texte précise également  que « les établissements de restauration commerciale et les entreprises qui distribuent des produits alimentaires dans le cadre d’une activité de vente à emporter utilisent à cet effet des contenants réutilisables ou recyclables. » L'obligation entrera en vigueur au 1er juillet  2021.   

 

– impose aux opérateurs de restauration collective la réalisation d’un diagnostic préalable à la démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire incluant l’approvisionnement durable. Certains d'entre eux devront rendre publics leurs engagements sur ce sujet, notamment les procédures de contrôle interne engagées.  

 

– étend l'obligation du don des excédents aux associations à la restauration collective et à l'industrie agroalimentaire selon des modalités qui tiendront compte des expérimentations menées par les associations volontaires.

Sur le don, découvrez l'article « Don des surplus alimentaires, lever les derniers freins en restauration collective »publié dans le Magazine #1 de Restauration21 en pages 18 à 21: https://www.restauration21.fr/restauration21/lemagazine-epaper.html

 

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